14 ans, Christine…
Un texte écrit pour une amie...
Ses premiers émois de femme...
Christine était un peu plus petite que moi...
Déjà très bien formée, elle était adepte des robes et des jupes, courtes de préférence !
Les garçons lui tournaient autour comme une nuée de mouches, elle en jouait bien sûr mais sans être vulgaire, à ce que je peux me souvenir !
On jouait au volley dans l’équipe du collège, la nudité n’était pas un problème pour nous contrairement à beaucoup de filles de notre âge qui jouaient les prudes...
Ses formes faisaient naitre en moi des ondes dans mon ventre…
Comme un désir diffus, de la prendre dans mes bras…
Notre amitié naissante, nos premiers moments ensembles, notre complicité nous poussait à nous voir en dehors du collège…
Et ces regards échangés dans les douches, après le match, et qui nous attiraient l’une et l’autre…
Puis, invitée chez elle, un week-end de détente, des passions échangées, musique, images, ses parents avenants, et nous timides, pressées de nous retrouver seules, à rêver, ensemble…
On dort ensemble ? Toutes les deux ?
L’idée ne m’avait pas effleuré avant…
Discuter encore, dans la nuit noire, les premières chaleur de l’été, nos mains qui se rencontrent…
Un choc épidermique ! Sa peau c’est du satin !…
Je ne connais pas les femmes, j’en suis juste à flirter, un garçon du voisinage, timide autant que moi, et qui respecte mon insouciance…
Nos lèvres effleurées, l’autre jour, une envolée de papillons magiques, multicolores, doux, comme sa main qui avance sur mon sein…
Timide ? Ou rusé ?
Pas trop bavard, et ses yeux posent mille questions auxquelles je ne pouvais répondre…
Je retrouve ce contexte, avec elle, c’est pareil…
Nos souffles se calment…
Si elle fait la moitié du chemin, je fais quoi ? L’autre moitié ?
Ou je recule lentement, pour ne pas la freiner, simplement pour me convaincre…
Un garçon ? Une fille ?
Mon corps semble hésiter…
Je pense un peu plus à elle, depuis notre dernier match, dernière douche, où j’ai vu sa nudité, ses seins plus beaux que les miens, ses hanches de femme, son pubis parsemé de poils blonds…
Nos doigts se croisent… Je vais craquer…
Nos bouches se rapprochent, tournées face à face, quelques centimètres, nos jambes se croisent…
Sa main glisse sur mon ventre, nos lèvres s’ouvrent de désir, je m’ouvre comme une fleur, mon corps lui obéit…
La mienne est restée aux portes de son intimité…
Elle vient la chercher, la conduit, lui apprend la première caresse…
Un doigt léger, coquin, effleure mon nid d’amour…
Premier baiser brûlant… Un élan en commun, c’est comme naturel…
La douceur personnifiée… Mon cœur bat la chamade, je ne respire plus, son doigt prend le pouvoir, je ne pense qu’à ça ! J’ai peur qu’elle me déflore !
Le contact de nos langues, et sa main doucement trouble mon ventre… Libère les papillons, déclenche les fontaines, un doigt plonge, libère mon nectar…
Elle s’est écartelée sous ma caresse…
Nous échangeons des soupirs, des gémissements, je me tords, je la veux encore…
Elle vient contre moi, à moitié sur moi, cuisses ouvertes, seins offerts…
Le contact est divin, je frotte encore son sexe, nos seins flirtent en silence, j’effleure son puits d’amour, en même temps qu’elle trouve mon bouton…
Ses doigts tournent, effleurent, je lui rends cet acte délicieux, on gémit…
On se fait jouir, un long moment, sans parler, complices dans cet échange-découverte…
Je n’étais jamais allée aussi loin…
Je ne m’étais jamais autant laissée masturber…
Nos vulves sont inondées, nos doigts poisseux de mouille, un dernier plaisir, un léger orgasme, nos cuisses qui s’ouvrent, qui en veulent plus…
- Non ! Pas encore !... Laisse-moi encore rêver, sage ***********…
- C’est doux, c’était bon, sincère…
- J’ai joui de toi…
- Moi aussi…
Le café, les croissants, c’est jour de fête, c’est dimanche…
Oui, je reste jusqu’à ce soir, ils sont si gentils…
Christine me sourit sous cape…
Sous la table, sa main passe dans ma culotte… Je hoquette de surprise…
Son père me regarde :
- Ça ne va pas ? Tu n’as pas faim ?
- Oh si, je suis heureuse d’avoir passé une bonne nuit…
Dans l’après-midi, après la piscine, on remonte dans sa chambre…
Ses parents sortent un moment, promenade dominicale…
Mes parents m’appellent, je les rassure : « Oui toujours en vie ! »
On se glisse sous la couette, on recommence…
La maison est silence…
Une plainte emplit la chambre…
Mon bassin va et vient, j’ai envie de faire l’amour, c’est indécent, elle se pénètre de mon doigt… Elle m’embrasse comme un garçon, à pleine bouche…
- Viens, masturbe-moi encore, plus fort, plus profond, je veux jouir comme on voit dans les vidéos ! A en perdre la tête ! A crier mes orgasmes !
Le soir tombe, les parents rentrent, on se frotte, sexe contre sexe, c’est dément, nouveau, divin !...
Christine, mon premier crush de femme, mon initiation !
FIN
Marika842010 – mai 2024
Ses premiers émois de femme...
Christine était un peu plus petite que moi...
Déjà très bien formée, elle était adepte des robes et des jupes, courtes de préférence !
Les garçons lui tournaient autour comme une nuée de mouches, elle en jouait bien sûr mais sans être vulgaire, à ce que je peux me souvenir !
On jouait au volley dans l’équipe du collège, la nudité n’était pas un problème pour nous contrairement à beaucoup de filles de notre âge qui jouaient les prudes...
Ses formes faisaient naitre en moi des ondes dans mon ventre…
Comme un désir diffus, de la prendre dans mes bras…
Notre amitié naissante, nos premiers moments ensembles, notre complicité nous poussait à nous voir en dehors du collège…
Et ces regards échangés dans les douches, après le match, et qui nous attiraient l’une et l’autre…
Puis, invitée chez elle, un week-end de détente, des passions échangées, musique, images, ses parents avenants, et nous timides, pressées de nous retrouver seules, à rêver, ensemble…
On dort ensemble ? Toutes les deux ?
L’idée ne m’avait pas effleuré avant…
Discuter encore, dans la nuit noire, les premières chaleur de l’été, nos mains qui se rencontrent…
Un choc épidermique ! Sa peau c’est du satin !…
Je ne connais pas les femmes, j’en suis juste à flirter, un garçon du voisinage, timide autant que moi, et qui respecte mon insouciance…
Nos lèvres effleurées, l’autre jour, une envolée de papillons magiques, multicolores, doux, comme sa main qui avance sur mon sein…
Timide ? Ou rusé ?
Pas trop bavard, et ses yeux posent mille questions auxquelles je ne pouvais répondre…
Je retrouve ce contexte, avec elle, c’est pareil…
Nos souffles se calment…
Si elle fait la moitié du chemin, je fais quoi ? L’autre moitié ?
Ou je recule lentement, pour ne pas la freiner, simplement pour me convaincre…
Un garçon ? Une fille ?
Mon corps semble hésiter…
Je pense un peu plus à elle, depuis notre dernier match, dernière douche, où j’ai vu sa nudité, ses seins plus beaux que les miens, ses hanches de femme, son pubis parsemé de poils blonds…
Nos doigts se croisent… Je vais craquer…
Nos bouches se rapprochent, tournées face à face, quelques centimètres, nos jambes se croisent…
Sa main glisse sur mon ventre, nos lèvres s’ouvrent de désir, je m’ouvre comme une fleur, mon corps lui obéit…
La mienne est restée aux portes de son intimité…
Elle vient la chercher, la conduit, lui apprend la première caresse…
Un doigt léger, coquin, effleure mon nid d’amour…
Premier baiser brûlant… Un élan en commun, c’est comme naturel…
La douceur personnifiée… Mon cœur bat la chamade, je ne respire plus, son doigt prend le pouvoir, je ne pense qu’à ça ! J’ai peur qu’elle me déflore !
Le contact de nos langues, et sa main doucement trouble mon ventre… Libère les papillons, déclenche les fontaines, un doigt plonge, libère mon nectar…
Elle s’est écartelée sous ma caresse…
Nous échangeons des soupirs, des gémissements, je me tords, je la veux encore…
Elle vient contre moi, à moitié sur moi, cuisses ouvertes, seins offerts…
Le contact est divin, je frotte encore son sexe, nos seins flirtent en silence, j’effleure son puits d’amour, en même temps qu’elle trouve mon bouton…
Ses doigts tournent, effleurent, je lui rends cet acte délicieux, on gémit…
On se fait jouir, un long moment, sans parler, complices dans cet échange-découverte…
Je n’étais jamais allée aussi loin…
Je ne m’étais jamais autant laissée masturber…
Nos vulves sont inondées, nos doigts poisseux de mouille, un dernier plaisir, un léger orgasme, nos cuisses qui s’ouvrent, qui en veulent plus…
- Non ! Pas encore !... Laisse-moi encore rêver, sage ***********…
- C’est doux, c’était bon, sincère…
- J’ai joui de toi…
- Moi aussi…
Le café, les croissants, c’est jour de fête, c’est dimanche…
Oui, je reste jusqu’à ce soir, ils sont si gentils…
Christine me sourit sous cape…
Sous la table, sa main passe dans ma culotte… Je hoquette de surprise…
Son père me regarde :
- Ça ne va pas ? Tu n’as pas faim ?
- Oh si, je suis heureuse d’avoir passé une bonne nuit…
Dans l’après-midi, après la piscine, on remonte dans sa chambre…
Ses parents sortent un moment, promenade dominicale…
Mes parents m’appellent, je les rassure : « Oui toujours en vie ! »
On se glisse sous la couette, on recommence…
La maison est silence…
Une plainte emplit la chambre…
Mon bassin va et vient, j’ai envie de faire l’amour, c’est indécent, elle se pénètre de mon doigt… Elle m’embrasse comme un garçon, à pleine bouche…
- Viens, masturbe-moi encore, plus fort, plus profond, je veux jouir comme on voit dans les vidéos ! A en perdre la tête ! A crier mes orgasmes !
Le soir tombe, les parents rentrent, on se frotte, sexe contre sexe, c’est dément, nouveau, divin !...
Christine, mon premier crush de femme, mon initiation !
FIN
Marika842010 – mai 2024
3 månader sedan