Voyage au Mozambique

Nous sommes partis en vacances au Mozambique en réservant à l'avance nos points de chute. Ne restant que 10 jours, nous avions programmé de ne visiter que le sud du pays, Matola et l'île de Inhaca. Le tourisme n'est pas développé, les plages sont désertes, se prêtant au naturisme. De quoi confirmer que les attributs des noirs ne sont pas une légende, Josie était très attentive à la dimension des bites qu'elle avait le loisir d'observer, car s'il y a peu de monde sur les plages, il y a quand même quelques beaux spécimens. C'est peut-être ce qui a décuplé sa libido ?
Les derniers jours, nous étions logé dans une grande maison coloniale occupé par Leonardo, un ancien militant du Felimo, front de libération du Mozambique. Les premiers temps, il est resté très réservé, ne partageant pas le petit déjeuner avec nous, nous donnant juste quelques infos afin de nous aider à meubler notre journée. Par contre, le soir, il nous accueillait à sa table, commentant ce que nous avions découvert avec une grande richesse culturelle.
Un soir arrosé plus que de raison, ayant bu plusieurs bières noires ( et oui, ça ne s'invente pas, une bière fortement alcoolisée de teinte noire conditionnée en canettes de 550ml), après plusieurs bières donc, les langues se sont déliées, le sujet principal de discussion étant les pratiques sexuelles, la fidélité... Ce sentiment n'existe pas, on ne se cache pas ici pour prendre la femme que l'on désire, la polygamie est de mise, même les femmes vont allègrement d'un homme à un autre.
Quand la question nous est revenue, nous avons répondu que nous nous contentions de n'avoir qu'un partenaire. Leonardo, d'allusion en allusion, ne s'adressant plus qu'à Josie, nous faisait l'apologie de l'amant black, de sa vigueur, de sa disponibilité... Nous sommes partis nous coucher émoustillés par tous ces échanges verbaux, quand Josie m'a fait l'amour, je suis certain qu'elle s'imaginait entre les bras d'un Mozambiquais...
Toujours est-il que le lendemain matin, ses premiers mots furent: "tu crois que c'est parce qu'ils s'en servent plus que les blancs que les noirs en ont une plus grosse ?"
Ça m'a bien fait rire... sur le coup ... car après réflexion je me suis pensé, elle est vachement intéressée !
Le climat est très humide, surtout un jour de pluie comme ce matin là, le moindre vêtement colle à la peau, la façon la plus agréable de ne pas être gêné est de ne porter que le minimum, Josie déambule vêtue d'un tee-shirt très léger, juste assez long pour masquer son postérieur, enfin tant qu'elle ne se penche pas ! Nous entrons dans la cuisine, Leonardo a dressé la table : café noir, jus de fruits, pain, confitures... Il commence à connaître nos habitudes.
Nous déjeunons ensemble, l'ambiance est détendue, ponctuée de petites allusions : "le temps ne se prête pas au tourisme, ça serait l'occasion de mieux se connaître ?"
"si nous passions au salon, les fauteuils sont accueillants ?"
Josie sort la première, nous l'accompagnons du regard, je remarque que celui de Leonardo vise la croupe de ma belle, quand elle passe le pas de la porte en contre-jour, la lumière traverse la mince étoffe soulignant ses formes rondes. Notre hébergeur se lève à son tour, son boxer à dû mal à masquer une anatomie généreuse, je le suis le cœur battant, et s'il draguent Josie, quelle attitude adopter ?
Josie est assise dans le grand canapé, je me place à ses côtés, mon bras autour de son coup, Leonardo nous fait face semblant nous dire : "ne vous gênez pas pour moi". J'embrasse ma belle, elle semblait n'attendre que ça, elle ondule comme un reptilien, je caresse ses cuisses, puis remonte ma main sur sa hanche, dévoilant un peu plus sa peau blanche et luisante : "chérie, Leonardo nous observe, ça ne te dérange pas ?"
"non, au contraire..."
Elle rouvre les yeux, lui sourit, je perçois une attirance réciproque, me lève pour abandonner Josie à moitié nue sur le velours à fleur du salon, elle n'a pas quitté les yeux de Leonardo qui s'est approché d'elle, il lui tend les mains, la relève, voyant que je ne réagi pas, il lui demande de se dévêtir...
Josie rougit, me questionne du regard, j'ai la bouche sèche, incapable de laisser échapper le moindre son, seule ma tête s'agite de bas en haut, vas-y !
Leurs langues s'entremêlent, leurs corps basculent l'un sur l'autre sur le velours distendu, si le cadre est détestable, le spectacle est sublime, je me glisse derrière eux pour apercevoir le membre surdimensionné de Leonardo glisser entre les lèvres humides de Josie, je filme ce moment délicieux, les couilles claquant sur le cul de ma belle me déclenche une érection douloureuse, l'afflux de sang dans ma tige est à son paroxysme !
Je les observe sous tous les angles, que c'est beau de voir ces deux corps luisants mélanger leurs sueurs, de sentir ces odeurs sublimées par la chaleur australe.
Les ébats vont se prolonger de longues minutes, je reste discret, accroupi au pied d'un fauteuil, ne me redressant que pour mieux visionner leurs amours i****tueux.
Jamais je n'aurais imaginé ma femme aussi libérée, capable de diriger son amant, d'alterner les positions à un rythme effréné, par devant, par derrière, un coup dessus, un autre dessous ...
Quand enfin Leonardo cesse de pilonner la chatte de ma cocufieuse, je constate l'impressionnante quantité de foutre qu'il y a déversé, le canapé en atteste également. Après de longues minutes à reprendre son souffle, elle se lève prestement empoignant son tee-shirt et se dirige à la salle de bain, je ne l'accompagne pas, préférant la laisser laver seule les traces de son adultère.
Josie n'a plus voulu recommencer avec Leonardo pour ne pas cautionner une forfaiture qui n'avait pas été préméditée.
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