Chris et Magda.

Cris, je n'ai eu que peu de temps à moi ces quelques jours, j'en étais mari de vous abandonner après vous m'eussiez envoyé ces photos intimes que j'espérais; elle est belle, très belle cette ligne discrète qui fend votre pubis, et qui est tout vous, elle vous représente en finesse, en douceur, en retenue, elle vous dévoile, fragile, toujours innocente au fond de vous, un besoin d'amour qui vous submerge amplifié par une sensualité que je sens et qui m'émeut, tout votre être désire donner et recevoir les caresses qui vous réalisent en tant qu'Amante...

J'adore cette fente d'amour, ces petites lèvres roses que je devine, se dégageant de leur écrin, cette tendre chiffonnade que je déloverais avec infini précaution si par merveilleux, l'espace entre nous était aboli et que privilégié parmi les privilégiés, je me fus trouvé en votre compagnie, nus tous deux en une chambre close, vous, éprise de ma personne d'un amour fou, soyez tout à moi abandonnée à mes caresses, mes mains parcourant votre corps ambré, de vos lèvres chaudes et humides que je baise, entre ouvre, pour recueillir votre souffle qui me donne la mesure de votre désir de nous, penchant ma tête pour atteindre votre cou je pose mes lèvres mouillées et tel un pèlerin amoureux de son chemin j'arpente tantôt jusqu'à votre nuque et l'oreille, tantôt descendant jusque sous votre menton déposer mes baisers, vous forçant à relever votre regard. votre odeur, votre abandon m'excite et je descends mes deux mains et saisi vos seins que je prends à leurs bases et les soulèves d'un coup et les serre à en faire saillir les globes tendus qui rosissent à l'étreinte, dardant sur moi leurs tétons, vous baissez votre tête pour profiter de la vision obscène de vos mamelles et vous prenez dans vos doigts les deux mamelons que vous tirez pour les faire saillir à l'extrême, vous les pincez plus forts, ce qui vous arrache un cri mélangé de plaisir et de douleur:
-"Je t'exposerais comme ça dans un coin de square et les hommes en passant s'arrêteront pour voir la femelle que je tiens à ma merci!"
="Oui!"- dites vous en un souffle,
-"Ils te prendrons chacun leur tour!"
="Oui, il me baiserons tous!"-, cette fois la voix est plus audible, pour que l'homme dans la chambre qui nous observe, en se caressant doucement adossé à la porte, n'en perde pas une parole. j'abandonne vos seins à vos mains qui les flattent et je fléchis sur mes jambes mes mains glissant sur vos hanches, ma bouche à hauteur de votre vulve et je sens votre odeur de femme qui me trouble et me chavire, le plis de vos lèvres est devant moi, j'y glisse ma langue et tente de les entre ouvrir.
-Accroupis toi, s'il te plait, mets toi à genoux!
Vous vous exécutez, le contentement se lit sur votre regard, ce moment de plaisir attendu se fait plus précis, en même temps que vous vous agenouyez, je fais une rotation sur moi-même et me place sur le dos entre vos cuisses que j'écarte, vous comprenez mon action et vous laissez passer ma tête sous votre sexe, celui çi s'ouvre, les petite lèvres se décollent lentement, mouillées de votre désir je vois maintenant en gros plan, l'ouverture de votre vagin, la pointe de mon nez à l'entrèe je sens vos effluves. En position dominante à califourchon sur moi, la croupe ouverte, vous vous abaissez et votre chatte totalement ouverte se pose sur ma bouche et mon nez, les submergent totalement à m'empécher de respirer tant vous pesez de tout votre poids, mon menton fendant un peu plus la vulve, votre clitoris est maintenant en contact, j'accepte avec joie cette délicieuse souffrance d'être étouffé par vous, mon visage baigné par vos larmes d'amour, mes yeux tentent d'enregistrer pour l'éternité cette vision merveilleuse, mon front colle à vos fesses écartées, écarquillant mes yeux je distingue votre anus plissé, que je me promets de lécher avec tout mon amour. Je tiens entre mes mains votre croupe ample que je sers fermement, maintenant vous entamez un balancement du bassin d'avant en arrière traînant, raclant votre chatte et votre clitoris qui durcit sur mon menton, j'essaie de l'atteindre de ma langue pour vous pénétrer, vos fesses moites se crispent et se détendent en rythme, votre anus se contracte et s'entre ouvre, j'entends maintenant vos gémissements de plaisir dans cette chevauchée charnelle que vous menez à un train d'enfer, au bord de l'asphyxie j' attends votre orgasme qui ne saurait tarder, pour rien au monde je n'interromperais votre plaisir, que je veux, mon sexe en érection délaissé frustré de cet acte d'amour dont il est exclu, tressautant sur mon ventre, votre main le saisit dans une rapide caresse, comme pour flatter votre monture et l'encourager. A cet instant, quelque chose ou quelqu'un, enlève mes mains de votre croupe toujours en action, je sens des genoux à ma tête, je laisse la place, votre bassin est tiré violemment en arrière, je recouvre la lumière, je reprends ma respiration, je vois votre pubis, votre ventre, vos seins se balancer, vos hanches sont agripées fermement, d'autres mains ont pris possession de vous, haletante, en sueur, vous vous rebellez un instant, votre jouissance interrompue, comme à un a****l à qui l'on retire sa pitance, et là je sens un sexe d'homme en forte érection poussant ma tête pour prendre ma place, suis-je de trop? ce sexe en rut veut autre chose, il se présente à votre anus trempé qu'il enfonce et qu'il pénètre à mis longueur, surprise un moment, brutalisée sur l'instant, vous goutez maintenant cette sodomie qui fouille vos entrailles.
Bien cramponnée, sans pouvoir, si vous ne l'aviez jamais voulu, vous échapper, la queue entre en vous complètement, la hampe dilatte votre anneau qui l'enserre, les couilles tapant votre cul ouvert à l'extrème par des mains cherchant à faciliter une pénétration profonde , toujours sous vous, je sens vos fesses sauter sous les coups de boutoirs, votre vagin béant se gonflant par proximité de votre anus rempli du sexe de l'homme qui frotte au passage le sommet de ma tête, votre plaisir est à son comble, vos gémisements de plaisirs se transforment en feulements, vous n'appartenez qu'au plaisir qui vous submerge, je reprends comme je peux, dans ce duo, mon hommage à votre intimité, quelques gouttes d'urines s'échappent, vous en avez conscience, prise dans ce manège je vous entends vous excuser:
="Pardon!", je vous réponds instantanément dans un souffle:
-"Non, non, vas y, abreuves moi de toi!"
Un jet d'urine tiède arrive dans ma bouche, je bois goulûment, vous le maîtrisez comme vous pouvez tant le bourrage que vous subissez presse sur votre vessie.
-"0ui!" dis-je et dans un murmure de contentement, vous pissez tout votre saoul dans ma bouche offerte en vase d'amour, noyé d'urine, de votre mouille et maintenant du sperme qui s'écoule de votre anus, le long de la verge de votre sodomiseur qui dans un râle bruyant vient d'éjaculer en vous, je tourne la tête délaissant votre chatte trempée, je rampe sur le côté pour guetter la sortie du membre dégoulinant de sperme de votre amant.
Il sort doucement en même temps que vous vous redressez, l'aidant en cela et je le vois coulisser doucement, le gland englué apparaît à son tour, je vois vos fesses ouverte, votre anus encore béant où s'échappe le sperme, il se contracte doucement, pour revenir à son état d'avant ce coït anal accompli, je suis sous cette voûte de chair et d'amour, l'odeur de sperme domine l'ambiance amoureuse, je saisis le glaive de chair, trempé, de "l'amant" qui vous a pénétré, je l'engouffre, encore en semi érection, dans ma bouche, et me gave de tous les sucs mêlés, d'odeur de vous et du sperme, je le lèche jusqu'à ce qu'il soit propre, à cette fellation il reprend vigueur et je peux sucer pleinement la queue qui vous a fait du bien...


Cécile se redressa, se mît sur ses genoux ; toujours sur le dos je vis s'élever sa vulve ouverte aux lèvres ourlées à la perfection, son capuchon clitoridien lovant sa petite bite proéminente, gardant les séquelles d'une succion que je lui ai appliqué pour que le sang afflue et augmenter son excitation, j'eu aimé arrêter cet instant, qu'elle restât pour moi figée dans cette attitude, cette voûte charnelle ouverte en son centre, offerte à mon regard, l'objet de toute mon affection, de toute ma dévotion, je forçais ma mémoire à se souvenir des minutes qui venaient de s'écouler, où ma face était baignée de son intimité chaude, odorante et suave, l'excitation extrême qui me submergeait, elle leva son genou et posa son pieds gauche à coté de ma cuisse, sur le parquet de chêne ciré, en profita pour admirer ses seins, deux obus qui balançaient fièrement leurs masses de chair roses, pencha la tête pour me signifier mon congé avec un sourire coquin, un regard à mon sexe en érection sur mon ventre.
-”Oh oh, je crois que j'ai des fuites !” dit elle en portant vivement la main à ses fesses et des doigts posés à son anus gonflé où ruisselle l'obôle blanchâtre de Georges son mari, qui a malmené sa fosse anale, s'y est engouffré, et la pilonné au point que son petit trou reste béant libérant la semence, qui finement s'écoule sur l'interieur de ses cuisses dans son échappée, j'aurais aimé lui venir en aide et lui faire sa petite toilette, qu'après avoir nettoyé et bichonné le sexe de son époux, j'aurais été heureux de coller mes lèvres à son cône trempé creusé en plein milieu de ses fesses, qu'est devenu son anus pour y téter et aspirer tout ce qu'elle a reçu, j'aurais dans une jalouse vengeance inséré ma langue pointue dans son cratère pour lui donner encore du plaisir.
La main entre les fesses bouchant son petit cul, elle se lève, virevolte et dans un petit rire s'enfuit en trottinant, ses fesses secouées en rythme.
-”Les garçons j'vous laisse, j'ai une urgence, j'vais à la salle de bain”!
Georges la regarde, hilare, elle prend le couloir de l'appartement et disparaît en poussant une porte. Il se retourne et se penche sur moi la main en avant, je la lui prend et il me relève d'un geste, du parquet où je m'étais couché pour rendre hommage sa belle.
Nous sommes l'un en face de l'autre, ses deux amants, ressentant soudain, le vide qu'elle laissa en s'absentant, même ne fusse qu'un instant, dans ce salon salon moderne qui sent bon le Roche-Bobois, les larges canapés designs ne semblent être là que pour recevoir et faire l'amour, une grande table ronde en verre, aux pieds en volutes métalliques, prétextes à des agapes bruyantes en rires et allusions coquines, des chaises au métal inox, et assises et dossiers en cuir beiges pouvant supporter l'ardeur de deux amants sans en souffrir, aux murs blancs en enduits cirés, des reproductions de toiles contemporaines, se tenaient deux hommes nus, matures, à peu près de la même corpulence, les membres virils pendants sur leurs cuisses, l'un, flasque, vidé de sa substance génératrice, l'autre, moi, le sexe à l'apparence du repos et pourtant contraint momentanément (je l'espère) à la continence.
-”Cécile a l'air de t'aprécier !”, dit Georges dans un sourire complice et pour briser la glace,
-” tu l'as bien léchée, elle adore ça”
-”je pense ! En allant sur ton blog, votre couple m'a plu, elle surtout bien sûr, ses mensurations généreuses, ses seins opulents, ses tétons foncés et gros comme des “dés à coudres”, et sa croupe ample, m'ont touché directement, tu as aussi un corps masculin agréable et le tout m'a décidé à vous contacter ; pour une première rencontre je ne me plains pas, j'ai adoré la caresser et la vue de ton sexe en gros plan frottant ma tête m'a impressionné !”
-” Tu m'a fait du bien aussi, j'aime beaucoup, ce n'est pas désagréable de se faire plaisir au masculin !”, Georges avait aimé ma prestation câline sur son membre au sortir du fondement de Cécile.
-” on s'prend une bière ? Me proposa Georges et tourna les talons à mon hochement de tête affirmatif. Du coup je pue admirer ses fesses paumées et hautes perchées de mec qui a du faire un peu de sport dans sa vie.
Il fit trois pas quand une sonnerie de porte mit fin à ma contemplation, Georges n'entra pas dans la cuisine mais alla droit au “juda” voir qui pouvait troubler notre “après midi récréative”.
Il colla son oeil et le retira de suite pour ouvrir la porte, à sa mine réjouie, je devinais que la visite, même si elle était imprévue, n'en était pas moins pour autant, la bienvenue.
-”Entrez, entrez, quelle bonne idée vous avez eu de passer !”
Georges s'effaçat, nu comme un ver, pour laisser passer le couple qui entra, la femme grand sourire devant la mise de son hôte, lorgna le corps de Georges de la tête au pieds lui déposa un baiser sur la bouche et de sa main soignée aux ongles rouges vifs, lui fit une petite caresse sur le sexe, en guise de salut.
-”C'est qui ? Dit la voix de l'autre côté de la porte de la salle de bain !
-” C'est Magda et Michel ! “répondit Georges en haussant sa voix.
-”Prend ton temps ma belle”, s'exclama Magda la bouche collée à la porte.
-” Eh bien mes coquins, on n'a pas l'air de s'embêter !” dit elle en avançant dans le couloir tandis que celui qui l'accompagnait entrait à son tour ; une poignée de main entre les deux hommes et Georges referma la porte.
Magda avançait sûr d'elle dans ce couloir qui mène au living, belle femme d'une cinquantaine dépassée, une ronde et sexy, dans un jeans moulant ses formes rebondies, un pull noir, encolure en “V”
Contenant avec peine une poitrine opulente, un bon H, qu'elle imposait à la vue de qui pouvait la voir, chevelure d'or coiffée avec les doigts qui, un visage de femme qui aime vivre pleinement et sans contraintes, un regard clair avec des yeux que je n'oublierais jamais, des lèvres sensuelles qui prennent la vie à pleine bouche, un rien délurée qui ne se refuse aucun plaisir et qui ose tout, une femme qui fait envie et qui fait peur.

Je m'étais mis de côté, hors de vue, mes vêtements à la main pour retrouver une posture convenable, je n'en eu pas le temps, elle entra dans le salon et s'arréta net, étonnée, puis amusé, fit des yeux le tour de ma personne, son regard s'arréta aux sexe,
-”bonjour !”
-”Bonjour !” répondis je.
-”Bonjour !”
-”Bonjour !” répondis je à Michel.
Georges se frayât un chemin, la queue libre de ses mouvements, pour me présenter.
-”Un nouvel ami ” lançât il avec un clin d'oeil, aux nouveaux arrivants.
Magda posa son sac sur la desserte à côté d'elle à la sortie du couloir, sans même me quitter des yeux, Georges échangeait quelques banalités avec Michel, c'est à ce moment que Cécile réapparut, sans avoir couvert sa nudité, alla faire la bise Michel, les seins s'applatissant sur sa chemise, il lui répondit par un bisou dans le cou et une tape sur les fesses, elle virevolta sourire au lèvres et embrassa Magda sur la bouche, les deux femmes collées l'une contre l'autre, mamelles contre mamelles le mince lainage du pull en barrière sensuelle, elles étaient de la même taille, il n'était pas difficile de les imaginer, les masses de leurs seins nus totalement en contactes, tétons enfouis.
Magda glissa sa main entre les cuisses de Cécile, en la regardant dans les yeux et dit :
-”j'ai l'impression qu'elle a bien servie, celle là !”
-”j'ai eu deux hommes qui s'en sont bien occupé !”répondit Cécile. -”j'ai eu la totale, j'vais avoir du mal à m'asseoir !” rajoutat'elle.
-”Humm !” fit Magda excitée et dirigeât ostensiblement son regard sur ma nudité, elle n'eut pas le temps de parler, Cécile la devança :
-”Mat m'a bouffée comme jamais, je me suis lâchée, c'était un bonheur et il a bouffé Georges aussi !”
-” sensuel, alors !” dit finement Magda.
Cécile se retourna et me lançât en guise d'avertissement avec un mine qui se voulait démoniaque :
-” attention à ton cul, Cécile adore sodomiser les hommes !”
-” Tu aimes ?” s'enquérrat Magda, se détachant lentement de Cécile.
-” j'aime bien !” répondis je, d'un air détaché, qu'elle se mit nue serait déjà une excitation, je ne pouvais détacher mon regard de ses formes pleines, donc j'aprécierai son contact physique de toutes manières. Mon cerveau avait déjà imaginé la scène et mon érection ne passa pas inaperçue.
Georges et Michel pris dans leurs conversations ne faisaient nullement attention aux allusions coquines de notre “trio”.
Cécile tourna les talons et trottina élégamment dans un déhanché adorable faisant jouer ses fesses, disparu dans le couloir, bruit d'une porte qui s'ouvre, quelques minutes pendant lesquelles Magda défit ses talons aiguilles lentement me regardant droit dans les yeux, de nouveau le petit trot sur le parquet du couloir, Cécile réapparut dans le séjour, à la main, un gode ceinture se balançant et tournoyant, elle leva fièrement sa virilité de substitution qui imposait le respect : au moins cinq centimètre de diamètre pour une longueur de plus de trente de silicone rose.
-”je vous le prête mes chéris, il nous fait grimper aux rideaux, moi comme Georges, n'est ce pas Magda, c'est ton préféré ?”
-” Oui je l'adore !” jubila Magda qui promptement saisit son pull à la taille, le releva en levant haut ses bras, son beau regard disparaissant derrière son pull, et ses seins, un moment suspendus, retombèrent l'un après l'autre, lourdement sur son ventre en se balançant, deux globes ronds de chair roses et veinés, s'affaissant sous leur poids, larges aréoles parsemées de tubercules de Montgomery, aux tétons bien dégagés, semblant attendre deux mains pour les recevoir et les soulever, ce que je fis de suite, ce bonheur de tenir en mains ces masses de chairs d'amours et de douceurs, j'étais aux anges ; ses seins en de bonnes mains, elle déboutonna son jeans, qu'elle fit glisser érotiquement sur ses cuisses hâlés comme le reste de son corps que le soleil devait souvent caresser en amant privilégié, un triangle de dentelle noire couvrait son pubis dodu ; après ses seins, des lèvres je lui pris la bouche charnue et humide de femme sensuelle, ma langue lutta avec la sienne dans un duel amoureux pour la possession de cet organe sexuel dont chacun voulait frénétiquement la pénétration, son jeans au sol, mes mains glissèrent sur ses fesses satinées, amples et rondes de femme charnelle que j'adore, mon érection était à son comble, déjà hyper excité du corps de Cécile, j'en explorais toute la géographie, pris le chemin de son sillon barré par le mince tissu de son string que j'étirais pour lui signifier son congé, nos bouches se dévorant avec fougue je descendit ma main gauche pour abaisser la dentelle qui me barrait la route de sa vulve que je désirais comme j'avais désiré celle de Cécile.
Elle mit fin à nos baisers brûlant, se tenant à mon épaule d'une main, elle se pencha et de l'autre baissa son string le long de ses cuisses, elle leva son genou et se défit du fin voile, je le lui ravis, elle me regarda étonnée, je le portais à mes lèvres, à mon nez et j'en huma les effluves qui me donnèrent la carte sexuelle de cette femme envoûtante, le mince string nous sépara un instant, nos visages l'un en face de l'autre, elle, un sourcil haut attendant une réparation pour le viol de son intimité, moi le nez dans la partie du string en contact avec la vulve de Magda, un mélange fort de femme, en cette fin d'après midi, un zeste de pipi, j'adorais la formule. Je le lâchais, il reposa à son tour sur le jeans, du pieds elle repoussa l'ensemble en dehors de notre champ de bataille, me poussa des deux mains et m'envoya sur le canapé derrière moi.
Cécile n'avait pas perdu une miette de la scène, une main sur son ventre, ses doigts filant vers sur son pubis, son appétit sexuel commençait doucement à revenir néanmoins elle se voulait transparente pour ne pas nous gêner et profiter de cette situation érotique, ce “porno” qui se déroulait devant elle, elle s'agenouilla dans le même temps que je m'affalais sur le canapé, son regard aux yeux bien ouverts, allant du visage de Magda au mien, excitée à l'idée de nous voir faire l'amour, elle posa ses bras croisés sur l'accoudoir, à coté de ma cuisse, au première loges, à trente centimètres de mon sexe dont elle avait maintenant les réelles proportions, le menton sur ses bras, et en fille studieuse attendit sagement la suite de la leçon.
Les deux hommes s'étaient tus subitement et s'étaient rapprochés, Georges toujours nu, une nouvelle érection indiquait que lui aussi était intéressé par “l'évenement”.
Allongé sur le dos, la tête portée par le dossier en cuir, jambes largement ouvertes mon sexe en érection devant cette “furie”, je décidais de ne rien décider, elle s'agenouilla entre mes cuisses, plaça ses seins l'un après l'autre, tétons en premiers contacts sur l'assise en cuir, d'une main saisit ma verge, approchât sa bouche sans me lâcher des yeux, en arrogante ravisseuse de mon sexe, ouvrit la bouche et engouffra mon gland, je senti sa langue à mon frein, elle pressa ses lèvres autour, le plaisir soudain me fit gémir, je ne vis plus que sa chevelure qui en mouvement alternatif, ses lèvres en étau de chair, allait au rythme de mes sensations intenses, sa main gauche sous mes bourses, les sollicitant par de douces pressions, j'avançais mon bassin inconsciemment et soulever mes fesses du cuir, pour aller toujours plus à la source de ce bonheur qu'elle me donnait, ses lèvres parcourant toute ma hampe jusqu'aux testicules qu'elle tenait hautes, et en sens inverse jusqu'au méat du gland qui refermait sa bouche, pompage parfait faisait admirablement son office, et je sentais mon plaisir monter et me laissant porter par cette vague, mon corps se crispa, allant dans une détente déverser tout mon amour dans ce sexe de substitution qui m'était offert.
Elle redressa son torse d'un coup ouvrant ses lèvres et rompant sa vaginale action sur mon pénis tendu, prêt à éjaculer.
Son retrait arrêta net mon plaisir.
-” T'allais jouir, hein ?” me dit elle avec un sourire pervers, elle lâcha mon sexe et mes testicules prenant soin de ne plus me produire aucune excitation supplémentaire, en émoi total, mes fesses reprirent contact avec le cuir moite du canapé.
Ses seins abandonnèrent l'assise de cuir en raclant leurs tétons, Magda se leva, statut de chair au ventre bombée de femme mature, à la taille restée fine, ses hanches larges et son beau petit dauphin que je découvrais pour la première fois, vue d'en bas j'admirais ses seins magnifiques, d'une rondeur parfaite, ployant sous leurs propres charges.
Elle allongea son bras et sa main ouverte vers moi, je la saisis, elle m'aida à me relever, nous nous trouvâmes l'un contre l'autre de nouveau, ses tétons effleurant mon torse, je posais le dos de mes doigts sur ses “boutons”, les frottant de bas en haut, obtenant au passage un effet de ressort, elle se dégageât, déposa un petit bisou rapide sur mes lèvres, elle descendit ses mains à ma taille, amorça la rotation de mon bassin, les propos de Cécile me revinrent, j'accompagnais le mouvement.
Cécile compris la manoeuvre, se releva de son poste d'observation, fit signe à Magda de m'amener face à l'accoudoir ce qu'elle fit, cheminant avec son captif, elle me courba sur le large accoudoir en cuir, le ventre en contact avec la matière encore chaude du buste de Magda, ma verge en érection cogna, du gland, Cécile repris le gode ceinture et le tendit à Magda.
Les fesses en l'air j'attendais mon exécution, regardant de côté la “chose”, imposante, une queue comme, je pense, tout homme rêve en secret d'avoir, qui fait de lui l'étalon soumettant toutes les femelles extasiées devant cette puissance génératrice. Des deux mains Magda porta la ceinture du harnais autour de sa taille, les trente centimètres de PVC rose balançant entre ses cuisses, Cécile l'aida en lui ajustant, serrant les boucles, recentrant “l'engin” de plaisir, le plaçant sur le pubis isolé d'un triangle noir en cuir d'où partaient deux sangles courant entre ses cuisses et de part et d'autre de sa chatte qu'elle laissais libre et disponible à toutes opportunités jouissives, elles prenaient leur temps, maîtrisant parfaitement ce rituel sacrificiel quelles exerçaient en grandes prêtresses.
Magda, femme devenue maintenant “TBM”, leva sa verge des deux mains et la secoua pour en éprouver sa flexibilité et sa consistance et me dit :
-”Hummm, tu vas aimer, ça va être la fête à ton cul, je vais te faire jouir comme une fille !
Je sentis la matière claquer sur le haut à la naissance de mes fesses, Cécile, partie un instant revint un tube à la main...
-”Attends, je vais te le préparer, faut que ça glisse !”
Un gel froid coula en saccades dans ma raie avec des bruits d'aspirations de fioles plastiques que l'on écrase...
-”Ca devrait aller dit Cécile en passant ses doigts entre mes fesses, rassemblant le gel sur mon anus, elle en entra un qu'elle enfonça coquinement, j'eu instantanément du plaisir, son doigt lubrifié continua de me fouiller, elle le faisait tourner dans mon fondement, elle le sortit pour immédiatement en entrer un deuxième qu'elle enfonça avec plus de facilité.
Mon plaisir commençait à venir, des fourniments parcouraient mon rectum, et le désir de comblement s'accentuer au fur et à mesure que ses doigts s'enfoncaient plus profonds, mon cul en demandait encore plus. Cependant, elle s'arréta, retira doucement ses doigts encrêmés et les porta à ses seins qu'elle massa avec, les soulevant, les séparant, les pressant, les faisant saillir et luire comme de belles boules de bowlings, cette vision me ravit...
-”Il est prêt !” dit malicieusement Cécile à Magda qui s'impatientait caressant son “gros membre” en l'enduisant du même sirop du bonheur que sa copine m'avait enduit intérieurement.
Mes fesses en l'air, en une imploration sensuelle elles attendaient leur offrande de plaisirs que toute fille reçoit de la part de son amoureux.
Je sentis le gros gland se coller contre mon anus, pas si froid que je le craignais, Magda l'avait bien réchauffé, la poussée s'accentua et la préparation de Cécile fit merveille, cette fois le “gros” de la hampe entra, m'ouvrant totalement satisfaisant ma quête de ce plaisir de pénétration qui me tenaillait depuis si longtemps. J'imaginais ce qui se passait derrière moi, mesurant le progrès de ce sexe qui allait me combler, mes fesses s'étaient affaissées sous la pression de Magda d'une part et par ma non-résistance à l'intromission, ce qui en limita l'insertion, j'analysais à la mesure de ma peur soudaine, le plaisir que j'en retirais, mon coeur tapant dans ma poitrine, je fis en sorte de me calmer, Magda en experte attendit, faisant une pause avant d'aller plus avant, je sentais en moi toute l'importance de son sexe, je goûtais son amour pour moi, l'intéret qu'elle me portait, mes entrailles commençaient à s'habituer à ce corps pas si étranger que cela, yeux fermés, maintenant, le “traumatisme” passant, je fis mienne cette aventure, de passif, soumis, dans un sursaut machiste, je choisis de prendre mon plaisir en main, lentement je me cambrais, relevant mes fesses empalées, je reculais ma croupe vers Magda connaissant tout de l'art de la baise, résista à cette contre-attaque amoureuse, la hampe reprit sa progression en moi, je la sentais m'envahir faisant vibrer au passage toutes mes terminaisons sensuelles qui me restituaient un plaisir immense jamais encore ressenti, je parvenais par transgression au plaisir féminin que je désirais tant, frustré et jaloux de voir mes partenaires féminines jouir avec autant d'intensité à la pénétration.
Magda maintenant me laissait faire, s'agripant de ses deux mains à mes hanches, elle contrôlait ma poussée aidant en cela le membre à me pénétrer.
Je prenais conscience du spectacle que j'offrais à cet “honorable” assemblée de libertins : ma nudité accroupie, deux femmes nues débordantes de féminité s'affairant sur moi, se partageant ma vertu comme des lionnes arrachant de leurs dents des lambeaux de chairs du corps d'un buffle.
-” tu l'as au deux tiers rentré me dit elle !” information importante pour moi qui sentait coulisser “la chose” sans savoir de combien elle me pénétrait, deux tiers de cette bite énorme me possédait, dans mon ventre des réticences se faisaient sentir, une douleur me fit m'arrêter, je cherchais un nouvel “angle d'attaque” en me cambrant un plus, la douleur disparut, le plaisir repris le dessus, je sentis les fourmillements de mon sexe qui entra en érection, mon mental enregistrant l'acte comme étant le sien, cette virilité réassumée, de mes genoux et de mes mains, * je m'aidais, repoussant l'accoudoir du canapé sur lequel j'étais collé, tendu et croupe en arrière poussant encore comme pour passer une ligne d'arrivée à reculons en vainqueur, les mains de Magda crispées sur mes hanches, ses ongles me crochant à me faire mal, je sentis les couilles du gode entre mes fesses, et la chaleur de ses cuisses.
Magda totalement en moi, je reposais mon torse sur le large accoudoir de cuir, elle ne lâchât pas sa proie, accrut la pression de son pubis dont je sentais maintenant la fermeté du harnais de cuir contre mes fesses.
Cécile toujours contre Magda dont elle entourait la taille comme pour mieux la guider, s'agenouilla, le visage sur les fesses de Magda, lui posa un baiser au passage, glissa sa main entre ses cuisses pour atteindre sa vulve entre les sangles du harnais, Magda réagit à la caresse, en minaudant, les doigts de sa copine fouillait son intimité et promettaient de s'occuper de son clitoris, sa main alla plus loin et dépassant les couilles du gode, je sentis des petits doigts effleurer le bord de mon anus, comme pour s'assurer de la bonne marche de ma sodomie,

Michel, l'ami de Magda toujours habillé mais la queue dans une belle érection sortant de sa braguette, c'était approché pour mieux voir et entendre les soupirs, les miens surtout, au passage il mit une main entre les fesses de Cécile accroupie, occupée à me titiller, et se branlant doucement s'assit sur le canapé à côté de ma tête posée sur un des dossiers, si bien que je pouvais voir en gros plan son “organe” me narguer, je le vis lorgner ma croupe écartelée, le “pubis” de cuir du harnais de Magda contre mes fesses, soudés, joints dans ce coït anal, inversant les genres, Michel et Georges de part et d'autre étaient les témoins de ma soumission aux ardeurs d'une femme iconoclaste et lubrique.
Je refermais les yeux, ne m'attachant qu'à ces nouvelles sensations jamais encore ressentis, j'étais totalement possédé par ma “maîtresse”, ma dominante, qui entreprit de me baiser à sa convenance, assurée que la “chose” entrait bien de toute sa longueur (et grosseur), dans mon cul offert, je sentis la hampe doucement ressortir, je ne bougeais plus attendant le plaisir que mon amant allait me donner, les veines du gode raclait mon fondement, la pression diminua, je n'avais plus le contact chaud des cuisses de Magda, cette “libération” fut de courte durée, d'un coup de reins elle enfonçât le gode jusqu'aux couilles l'apréhension empêchait encore mon plaisir, elle le ressortit à nouveau, et n'arrêtat plus son va et viens, tantôt sortant au deux tiers pour mieux me l'enfoncer, son plastron de cuir tapant sur mes fesses, oubliant le monde je sentais le plaisir monter en moi comme une vague, elle continuait fougueusement à me pénétrer, le gode m'arrachait des gémissements incontrôlables, Magda m'accompagnait dans ce choral et semblait jouir de son pénis, c'était oublier Cécile qui, toujours accroupie derrière sa copine, de sa main experte la pénétrait et la fouillait en rythme, la pilonnant de bas en haut.
La vision de ce trio livré aux plaisir “honteux” du sexe excita encore plus Michel qui lassé de se branler, voyant une bouche ouverte à gémir et libre, se tourna sur son côté et me présenta sa queue roide dont le gland dur et lisse comme une grosse prune, une quetsche, força mes lèvres, je ne fis aucune résistance, il entra comme chez lui, il mis sa main derrière ma tête pour me tenir à sa merci, et me força à recevoir son membre qui m'ouvrit la bouche en grand, vagin de substitution pour lui, excité par cette victoire, il commença sa manoeuvre de fellation, tapant au fond de ma gorge sans vergogne, ce couple pervers me prenait totalement, je n'étais plus qu'un jouet sexuel pour eux...
-” ben voilà tu es comblé Mat !” se plut à dire Magda voyant son compagnon me baiser de belle façon et je lui facilitais le passage de mon mieux pour augmenter son plaisir, j'effaçais mes dents au maximum, faisant de ma bouche un vagin ou un anus parfait, je parvenais à peine à respirer, il tapait au fond de ma gorge autant que Magda tapait dans mes fesses faisant naviguer le gode et me dilatant en ondulant du bassin, j'étais au comble du plaisir, ma main sur ma queue contre le bas de l'accoudoir suivait les mouvement de boutoirs de mes deux baiseurs, j'essayer de me faire jouir, mais elle restait flasque, inutilisable, juste bon à pendre et à pisser...
Magda hurlant sans retenue était en train de jouir sous les doigts de Cécile, Michel lui faisant écho hurla son plaisir, oubliant sa force m'enfonça son membre de granit jusqu'aux couilles touchant mes lèvres et explosa en moi, m'inondant le fond de ma gorge, à me faire vomir, de son sperme chaud, il s'abatit sur moi vaincu par son orgasme, je sentis les seins lourds de Magda s'aplatir sur mon dos, terrassée par sa jouissance, le gode immobilisé toujours en moi, Michel sortit doucement et délicatement sa queue de ma bouche, j'avalais le sperme qui l'accompagnait, Michel regarda sa compagne, se pencha, elle, releva la tête, ils se donnèrent un tendre baiser, j'étais le lien et l'artisan de ce bonheur du jour...
Veröffentlicht von taniste
vor 3 Jahren
Kommentare
12
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tvdavina
an taniste : huuummm !! j'en suis sure 
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taniste
an tvdavina : Merci Chérie, j'aimerais te donner du Bonheur, profondément et longtemps...
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tvdavina
an taniste : j'adoooore !!!
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taniste
an tvdavina : deux salopes ensemble pour faire couler un maximum de Bonheur exter et inter...
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tvdavina
an taniste : heureuse de constater que tu est aussi salope que moi !!
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taniste
an tvdavina : J'en suis très heureux ma Chérie, si nous étions ensemble je te lècherais ton gland si dure jusqu'à le faire éjaculer dans ma bouche et j'avalerais toute ta bonne crème...
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tvdavina
que du bonheur !! j'en suis toute excitée et toute dure . Il faut dire que mes meilleurs souvenirs de baise sont avec des couples . Les femmes se laisse plus aller avec des "tapette " comme nous . Et ca me plait bien .
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taniste
an youlms : Bonjour et merci pour cet hommage queue j'aurais eu du plaisir à goûter à l'émission...
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youlms
Très beau récit qui m'a excité au point de mouiller mon slip de mon liquide pré-séminal 
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taniste
Oui, enfiler et se faire enfiler...
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taniste
an cubichaton : Merci Ami ça me fait plaisir et malheureusement quel chagrin de ne pouvoir se rencontrer...
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Magnifique récit super bien écrit ! de la belle prose !! j'ai bien bandé à cette lecture et aurait pris volontiers ta place . Merci
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