UNE SOUMISE A ANVERS

AVERTISSEMENT AVANT LECTURE :
Je n’écris habituellement que des récits vrais et personnels relatant des épisodes de ma vie de putain.
Le récit qui suit n’est pas du même ordre. C’est une pure fiction.
Je destinais ce texte à une « utilisatrice » du site qui était demandeuse d’histoires la mettant en scène. Après une brève enquête, l’utilisatrice en question s’est avérée être un mytho, probablement un homme.
Je propose donc cette histoire que je juge d’assez bonne qualité à la lecture de tous.
Bonne lecture à ceux qui feront l’effort de la lire.


UNE SOUMISE A ANVERS

1

Ce matin là, Ferdinand conduisait et Irma était assise à ses côtés, entièrement nue sous une robe d’été moulante.
Cela faisait maintenant quatre mois que Ferdinand baisait et faisait baiser Irma.
Il éprouvait pour elle un sentiment étrange qui, s’il tenait plus de l’attirance sexuelle que de l’amour, n’en était pas moins une sorte de passion dévorante.
Certes, entre son travail et la garde partagée de ses enfants, Irma n’était pas souvent disponible mais lorsqu’elle parvenait à l’être, elle s’abandonnait à Ferdinand sans retenue comme elle avait promis de le faire dès leur deuxième rencontre….
Lors de cette deuxième rencontre, après que de la pointe de ses beaux cheveux jusqu’aux ongles vernis de ses jolis orteils, le corps d’Irma ait gémi comme jamais, hurlé comme jamais et tremblé de jouissance comme avec personne d’autre, Ferdinand avait saisi sa proie à la gorge et il lui avait dit sur un ton sans réplique :
- « Regarde-moi dans les yeux ! »…
Pantelante et incandescente, Irma avait levé vers lui ses yeux sombres et profonds et Ferdinand lui avait déclaré d’une voix cassante:
- « Je veux te soumettre à mon plaisir personnel mais aussi à mes désirs les plus fous et à tous les fantasmes que je n’ai pas pu réaliser jusqu’à maintenant… Est-ce que tu te sens capable de me suivre dans cette aventure ? ».
Encore haletante, cherchant l’air en de profondes inspirations qui soulevaient ses seins un peu abîmés par ses deux grossesses et endoloris par les pincements et les morsures de Ferdinand, Irma avait semblé cogiter quelques secondes et Ferdinand s’était impatienté :
- « Réponds-moi sans réfléchir, salope ! ».
Irma lui avait répondu presque timidement :
- « Je ne sais pas si j’en suis vraiment capable mais si je ne le suis pas, je souhaite que tu m’apprennes et que tu me forces à l’être et je ne refuserai jamais ce que tu exigeras de moi… »…
– « Jure le moi ! » avait renchéri Ferdinand et Irma l’avait juré…
- « Bien ! » avait-il sobrement commenté et comme pour lui montrer qu’il était bien devenu son maître, Ferdinand avait empoigné les cheveux emmêlés de sa soumise, il l’avait obligée à se contorsionner pour rapprocher son beau visage de sa bite épaisse, veineuse et encore raide de concupiscence, puis en la traitant de pute, il l’avait obligée à lécher son gland monstrueux et son impressionnante tige encore visqueuse de jute et de mouille :
– « Lèche la bien pétasse et si je suis content de toi, je t’offrirai un collier de cuir et une laisse que tu porteras toujours quand nous nous verrons… ». Et de sa main restée libre, il avait asséné une claque terriblement douloureuse sur la chatte encore poisseuse d’Irma.

Longtemps avant que le hasard ne lui fasse rencontrer Irma, Ferdinand avait rêvé de trouver la partenaire sexuelle prête à tout pour donner corps aux idées baroques et salaces qui traversaient et tourmentaient son imagination depuis toujours.
Après cet épisode qui fût son acte de soumission, Irma s’était sans cesse efforcée de se montrer à la hauteur des espérances et des exigences de son amant, acceptant de céder à ses volontés pour devenir ce qu’il souhaitait qu’elle devienne. A maintes reprises, Ferdinand l’avait emmenée dans les bois entourant Paris ou dans toutes sortes de lieux peu ragoûtants pour la voir se faire docilement enfiler en public par des inconnus à qui Ferdinand fixait rendez-vous. Et Irma s’était faite troncher et enculer sans protester par bon nombre d’hommes qui n’en espéraient pas tant de cette belle inconnue. Ferdinand avait exigé d’elle qu’elle drague dans les rues de Paris et qu’elle offre à de parfaits étrangers des fellations gratuites dans des bagnoles, des camionnettes, des cinémas ou sous des porches crasseux. Et Irma, sans jamais blâmer Ferdinand, avait déjà pompé des dizaines de mecs et avalé leur foutre dans ces situations extrêmement scabreuses.

2

Cela faisait donc quatre mois qu’Irma se donnait à Ferdinand et qu’elle obéissait à toutes ses injonctions… Juste après le 14 juillet, les enfants d’Irma étant partis en vacances avec leur père, Ferdinand émit le souhait d’emmener sa soumise en villégiature. Et c’est pourquoi, ce matin là, il conduisait et Irma, entièrement nue sous sa robe d’été moulante, était assise à ses côtés.
La voiture était sortie de Paris par la Porte de la Chapelle, avait dépassé l’aéroport de Roissy, s’était engagée sur l’autoroute et filait maintenant vers le Nord.
Irma paraissait tranquille, placide, presque éteinte mais au fond d’elle-même, elle était, excessivement nerveuse. Son estomac se nouait en spasmes violents comme chaque fois que son amant était sur le point de lui demander de dépasser ses répugnances, ses peurs et ses limites. Assise dans cette voiture qui roulait à bonne allure dans la morne campagne picarde, elle savait qu’une nouvelle épreuve l’attendait mais parce que Ferdinand lui avait interdit de poser la moindre question, elle ignorait en quoi consisterait cette nouvelle expérience.
Lorsqu’après une petite heure de route, Ferdinand ralentit, mit le clignotant et s’engagea sur une aire de service où stationnaient des camions, Irma pensa qu’ils étaient arrivés et qu’il allait lui demander d’aller une fois de plus s’offrir à des hommes choisis par lui. Elle s’était mentalement préparée à cette éventualité mais elle demeurait perplexe parce que Ferdinand avait parlé d’un voyage assez long et qu’il lui avait demandé en plus du sac de voyage qu’elle emportait, de remplir une petite valise à roulettes de ses tenues les plus affriolantes, de ses escarpins les plus vertigineux et de sa lingerie la plus sexy.
Ferdinand alla se garer loin des autres voitures, au milieu des camions, arrêta le moteur, recula son siège, fit jaillir de sa braguette sa queue robuste au gland énorme et ayant soudainement saisi Irma par les cheveux comme il en avait pris l’habitude, il l’avait contrainte à le sucer.
Lorsqu’il avait été proche d’éjaculer dans son gosier, la tirant à nouveau par les cheveux, il l’avait brusquement arrêtée :
– « Ne bouge pas ! » avait-il commandé. Il avait adroitement bouclé autour du cou d’Irma le collier de cuir qu’il aimait lui voir porter et lorsque ce fut fait, il avait dit :
– « Remets ça, pétasse ! » et disant cela, il lui avait tendu la culotte qu’il l’avait sommé d’enlever dans la voiture au moment de quitter Paris.
Tandis qu’elle s'exécutait, il était sorti de la voiture, en avait fait le tour, avait ouvert la portière passager, avait fixé la laisse au collier, avait extrait Irma du véhicule et avait claqué la portière derrière elle.
La traînant par la laisse de cuir comme une chienne qu’on sort pour la faire pisser, il avait fait avec elle quelques pas au milieu des camions, avait soulevé sa robe d’été bien au-dessus de sa touffe, avait baissé sa culotte, l’avait obligée à lever alternativement les deux pieds pour la lui retirer tout à fait, lui avait tendu une poignée de capotes sorties de sa poche et lui avait annoncé:
- « Maintenant vas-y chienne ! Et ne reviens pas avant d’avoir été saillie trois fois ! »
Et il l’avait plantée là.
- « Bouche, chatte et cul !» avait-il décrété, presque menaçant, en s’éloignant.
Le cœur d’Irma battait à rompre. La moitié raisonnable de son cerveau lui conseillait de tourner les talons et de fuir tandis que l’autre moitié, sa moitié asservie, lui enjoignait de rester et d’obéir aveuglément.
Irma était restée quelques instant debout sur le parking, hésitante. Elle se sentait défaillir mais dans le même temps, elle avait soudain senti qu’une boule de désir explosait dans les profondeurs de son bas-ventre.
Assis dans la cabine de son camion d’où il avait assisté à toute la scène, un chauffeur routier la héla et lui fit signe d’approcher. Chancelante, Irma avança et lorsque la portière s’ouvrit et qu’elle aperçut le chibre déjà ferme et généreusement décalotté du camionneur, elle eut un mouvement de recul et de dégoût :
– « C’est combien ? » demanda l’homme….
– « Heu… C’est gratuit.» répliqua craintivement Irma… Dans son ventre, la boule de désir s’était liquéfiée et elle la sentait se répandre dans son vagin en un flux humide et corrosif…
- « Fais-moi voir ta chatte » avait demandé le camionneur. Terrorisée mais complaisante Irma avait soulevé sa robe pour découvrir un triangle pubien bien taillé.
- : « T’es trop bonne ma salope !"
Alors, la pogne rugueuse et encrassée du camionneur se tendit, Irma se résigna à y poser sa main manucurée et le routier la hissa dans la cabine.

3

La voiture roulait à nouveau et dépassa la sortie Lille Nord…
Ferdinand regarda Irma à la dérobée. Elle semblait calme, absorbée dans ses pensées qui, en réalité, se concentraient sur la sensation douloureuse que sa vulve et son anus conservaient des pénétrations grossières et des sodomies brutales qu’un peu plus tôt, elle avait successivement subit sans broncher…
– « Tu penses à quoi, poufiasse ? ».
Irma n’avait pas tout de suite répondu. Dans un lent mouvement de rotation, elle s'était tournée vers Ferdinand, avait relevé sa robe d’été sur son ventre, avait découvert sa moule encore moite et suintante de cyprine, l’avait écarté des deux mains et avait répondu dans un souffle :
- « Je pense à la pute je suis devenue à cause de toi. »…
Ferdinand avait tourné la tête dans sa direction et avait sourit :
- « Je remarque que tu n’as pas dit « grâce à toi »... Tu regrettes d’en être devenue une ? » avait-il interrogé.
Irma avait fait non de la tĂŞte.
– « Je n’ai aucun regret mais je ne sais plus vraiment qui je suis ni où j’en suis. J’ai l’impression que je me perds à mesure que je me trouve. Quand je t’ai connu, j’étais une femme divorcée mais parfaitement normale, une honnête femme comme on dit, une mère de famille. Enfin, c’est ce que je pensais de moi… Et là, je ne sais plus…».
Ferdinand avait paru satisfait de sa réponse et il était resté silencieux comme pour la perdre un peu plus.

Ils avaient franchi la frontière.
Grise, blafarde et plate, la monotone Belgique défilait. Un fin et silencieux crachin tombait de travers. En un geste tendre, Ferdinand avait posé sa main sur la cuisse gauche d’Irma. Elle avait aussitôt saisi cette main caressante, l’avait tirée vers elle et l’avait posée entre ses cuisses ouvertes. Un instant, Irma s’était sentie tout à la fois excitée et rassurée. De son côté, Ferdinand s’était senti ému mais ses réflexes de maître avaient immédiatement repris le dessus. Il avait retiré sa main en disant :
- « Arrête ! Tu me dégoûtes là… Ta chatte et ton cul sont trop dégueulasses… Je ne te toucherai plus tant que tu ne seras pas lavée de tes souillures… ». Irma s’était sentie humiliée comme jamais auparavant. Elle était proche des sanglots mais elle s’était ***, avait fermé les yeux pour ne pas pleurer et s’était blottie contre la portière.
Plus tard, tandis que la voiture poursuivait sa route et passait sous des panneaux autoroutiers annonçant des directions en français et en flamand, Ferdinand avait demandé :
- « Tu sais où je t’emmène, ma pétasse ? Tu as deviné ? ».
Irma lui avait jeté un regard presque méchant et avait répondu vivement :
- « Non ! Je ne sais pas où on va et je ne veux pas le savoir ! Mais je me doute bien que tu m’emmènes dans un enfer… Et je me fous de savoir de quel enfer il s’agit puisque c’est ton plaisir de m’y conduire ! »

Anvers sembla à Irma un mélange disparates de laideurs et de beautés architecturales.
Ils descendirent dans un luxueux hôtel non loin de la Grand Place et sitôt arrivés dans la chambre, Ferdinand exigea qu’Irma prenne une douche parce que, avait-il dit, elle était « plus répugnante que la plus répugnante des truies » puis quand elle se fut purifiée, Ferdinand lui passa le collier et la tenant sans cesse en laisse, il lui fit longuement et passionnément l’amour jusqu’à la nuit tombante.
L’obscurité s’était répandue sur la ville quand ils sortirent pour dîner dans un restaurant gastronomique où Ferdinand avait réservé une table pour deux.
Ils dînèrent aux chandelles, délicieusement et en buvant un grand cru choisi par lui. Pour un observateur non averti, ils composaient à eux deux un très beau couple d’amoureux qui se remarquait et que les gens scrutaient avec sans doute un peu d’envie. Ferdinand paraissait très épris. Irma, élégante autant que souriante oscillait entre gaîté, tristesse et angoisse sans rien laisser paraître.

4

Le lendemain, après une nuit de bon sommeil, ils se réveillèrent tard, se firent servir un somptueux petit-déjeuner dans la chambre et après qu’il lui ait remis son collier, il la posséda en la traitant de tous les noms. Comme à chaque fois qu’il la baisait, Irma avait eu le sentiment de n’avoir jamais éprouvé le plaisir qu’elle ressentait en devenant la chose de Ferdinand, en lui obéissant au doigt et à l’œil, en se laissant insulter, gifler, fesser, doigter, lécher, manger et pénétrer par en haut, par en bas, par devant, par derrière.
En fin d’après midi, ils sortirent.
Ferdinand enlaçant amoureusement Irma et trainant derrière lui la petite valise à roulettes pleine de lingerie, d’escarpins et de tenues affriolantes, ils cheminèrent en silence comme deux touristes en goguette. A l’entrée d’une rue où s’alignaient des vitrines multicolores derrière lesquelles des filles en petites tenues attendaient le chaland, Ferdinand s’arrêta, tendit à Irma une enveloppe pleine d’argent et un bout de papier sur lequel il avait noté une adresse :
- « Tu vas te présenter à cette adresse. C’est un bureau comme un autre. Ils t’expliqueront tout. »… Il l’embrassa longuement, lui claqua les fesses et lui dit :
- « Vas ma pute ! Je te retrouve demain matin à l’hôtel…».
Toute ambigüité était levée sur ce qu’Irma devait faire. Plus la moindre place au doute sur les "vacances" que Ferdinand avait préparées pour elle et sur ce qu’il attendait d’elle.
Apparemment satisfait, il la regarda s’éloigner, fragile et tirant derrière la petite valise à roulette. .

L’adresse indiquée sur le bout de papier était celle du Bureau Central, petit local discret où les prostituées devaient s'enregistrer pour pouvoir travailler dans le Quartier Rouge.
Irma entra dans le bureau, présenta sa carte d’identité, se soumit de bonne grâce au rituel du relevé des empreintes digitales, prit connaissance du règlement en français que lui avait remis le préposé aux inscriptions, écouta sagement ses conseils de prudence, la notification des interdictions diverses et variées (ne pas dormir sur place, ne pas inviter plus de quatre personnes, respecter l’interdiction d’avoir des relations non protégées, ne pas hésiter à actionner l’alarme en cas de danger, ne pas dépasser les horaires, 19h/6h du matin, laisser entrer la femme de ménage qui passait deux fois par nuit à heures fixes…).
Elle versa en espèces la somme requise - 380 euros pour 5 jours - puis ayant écouté d’une oreille attentive les ultimes recommandations, Irma saisit la clef que lui tendait l’employé du Bureau Central et prit congé.
- "C'est au numéro 4. A droite en sortant et tout droit.".
Bien que tout parût à Irma totalement fou, les formalités d’enregistrement n’avaient eu rien que de très banal et l’affaire avait été conclue en moins d’un quart d’heure.

Le numéro 4 de Vingerlingstraat, n’était pas situé dans le meilleur secteur du Quartier Rouge mais Irma constata qu’il y avait tout de même beaucoup de passage.
Au moment de tourner la clef dans la serrure qui donnait accès à la vitrine, Irma aperçut Ferdinand. Il était debout sur le trottoir d’en face, à une vingtaine de mètres de là, comme un badaud anonyme. Il lui fit un petit signe complice d’encouragement puis il tourna les talons et la laissa seule avec son vertige.
Derrière la grande baie vitrée, un simple rideau blanc opaque cachait une petite chambre très propre et dotée d’un lit, de miroirs, d’une table, d’un évier, d’une douche, d’une toilette et d’une armoire. Près du lit, un petit tableau discret commandait l’éclairage, le chauffage, l’air conditionné et l’alarme au cas où.
Cachée par le rideau blanc, Irma pleura longtemps.
Puis, elle ouvrit sa valise, en sortit la tenue que Ferdinand lui avait choisie : un bustier noir en dentelle, un minuscule string noir, des bas à couture autofixants également noirs, des escarpins d’un rouge sombre très hauts, à la cambrure très abrupte et très inconfortable, un large ceinturon du même rouge sombre que les escarpins et un collier de cuir assorti agrémenté d’un anneau d’acier d’où pendait une laisse. Elle déposa le tout sur le lit étroit puis elle passa sous la douche, se sécha, s’enduit le corps de crème, s’appliqua à se maquiller dans un style bien plus appuyé qu’à son habitude, se parfuma.
Elle ne pleurait plus.
Elle s’habilla, rangea la petite valise et le reste de ses effets dans l’armoire, posa bien en évidence sur la petite étagère qui longeait le lit la collection de sextoys que Ferdinand lui avait offerts, remplit une petite corbeille de préservatifs et lorsqu’elle se sentit suffisamment prête, elle boucla autour de son cou le collier de cuir rouge sombre d'où pendait la laisse, s’admira dans le plus grand miroir, tordit le cou pour voir l'effet que faisaient ses fesses dénudées et ses jambes gainées de nylon puis, elle tira le rideau et vint poser son beau cul sur le tabouret froid, bien en vue dans sa vitrine.
Il Ă©tait 19 heures et il faisait encore grand jour.
Elle Ă©tait lĂ  pour toute la nuit.
Son cœur battait la chamade. Elle pensa à ses enfants mais chassa bien vite cette pensée douloureuse.
Un homme ralentit devant la vitrine pour la détailler. Puis un autre puis encore un autre.
Dans sa poitrine, Irma ressentait une détresse incontrôlée mais plus bas, son ventre et ses organes génitaux semblait réclamer de la bite, de la queue, du zob, du braquemart... .
Était-ce l’enfer dont elle avait parlé la veille dans la voiture qui roulait vers Anvers ? Elle n’aurait su le dire et au fond, elle s’en foutait puisque Ferdinand était heureux et fier d’elle.
Elle n’eut pas le temps de développer cette pensée.
Un groupe d'hommes passa devant sa vitrine. Ils riaient en se poussant du coude et en se donnant de grandes tapes amicales.
L’un d’eux s'arrêta et cogna à la vitre sous les regards rigolards de ses copains.
Dans le ventre d’Irma, la boule de désir se liquéfia et elle sentit se répandre dans son vagin le flux humide et corrosif de son envie de sexe.
Alors, elle quitta son tabouret pour aller ouvrir Ă  son tout premier client.
Veröffentlicht von lapetitesoumise
vor 3 Monaten
Kommentare
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lapetitesoumise
an racheltrav : Merci d'apprécier... je n'écris que du réel
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racheltrav
j'ai travailler comme pute a Anvers! c'est cool! ce que tu décris est exacte!
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fananal78
UNe Histoire toujours aussi bien écrité et agréable à lire. On espère une suite ?
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Carmadyx
Excitant 
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lapetitesoumise
an tvdavina : Tu me fais très plaisir et je te remercie de l'avoir lue... Il y aura peut-être une suite
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lapetitesoumise
an cauet6080 : Super contente que tu aimes... Tu n'es pas le premier Ă  me demander une suite... Il y en aura peut-ĂŞtre une.
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cauet6080
Superbe histoire dommage si il n y a pas de suite 
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tvdavina
bien écrit et détail bien les sentiments d'une soumise , j'ai beaucoup aimé . Une suite serais la bienvenue et.....félicitations .
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lapetitesoumise
an Pgoue25 : Merci beaucoup d'avoir lu jusqu'au bout... je n'ai pas prévu de suite mais vous m'encouragez... Merci encore
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Pgoue25
Vous narrez très bien. J'espère que vous avez prévu une suite...
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