Mery – Des hormones à revendre
Un retour sur tes 16 ans, ce que tu aurais pu vivre…
Tu avais franchi la quasi-totalité de ton parcours d’*********…
Garçon, fille, fille, garçon, fille, fille… Ton penchant était devenu évident…
Tu sortais juste, des bras d’une nouvelle amie, qui t’avait raccompagnée chez tes parents absents, tu lui avais proposé de monter, elle n’était redescendue que ce matin, vers 9 heures…
Tu papillonnais ces temps-ci, goûtant le nectar de ces fleurs tendres, aux calices rosés, que tu inaugurais souvent, que tu léchais avec délice et sans modération, même âge, même sexe, même attirance, que tu cueillais au hasard de tes rencontres…
Ce dimanche après-midi, dans ta promenade habituelle, tu avais remarqué un garçon qui semblait te suivre sur le tour du lac. Tu le connaissais sans plus, il allait au même Lycée que toi, tu l’avais croisé dans un bar avec ses copains…
Tu le trouvais pas mal physiquement, sensoriel, sensuel, pas trop niais, il t’avait fait de doux compliments, mais tu n’étais pas dupe, et tu savais ce qu’il voulait !
Quand tu étais au bord du lac, tu revivais souvent, comme maintenant, ces scènes intimes, ta jouissance, ton plaisir de jeune femme, vos tendres envolées saphiques, ces élans enfiévrés, qui vous avaient menées à l’orgasme, cette nuit…
Le garçon te rattrapa… Tu étais assise sur ton banc préféré… Il s’assit à ton côté…
Tu acceptas d’oublier tes pensées, et te tourna vers lui…
Ses yeux bleus de nordiste, buvaient ton regard, tu n’y étais pas insensible…
Il te racontait un peu de sa vie, comblant tes informations et validant tes souvenirs…
Tu sondas le personnage…
- Tu es avec Jeanne, non ?
- Fini… Non seul… Et je t’ai vue passer, seule aussi, le destin ?
- Tu ne penses qu’à ma chatte, destin de femme… Ce matin, elle était butinée par une langue féminine avide… On aime le sucré de notre nectar…
- Ma langue pourrait s’y glisser, et raviver tes souvenirs, laper ta vulve à t’emporter dans les étoiles, pour revivre ces moments de féminité, malgré ma langue masculine…
- Certains sucent très bien, c’est un fait…
- Tu as beaucoup d’expérience ?
- Suffisamment pour comparer, maintenant… Tu me plais, tu es direct, tu t’exprimes en homme, pas en benêt, galant tu me fais la cour, avec les mots que j’aime entendre…. Tu ne caches pas ton désir de me culbuter… Mes hormones débordent en ce moment, suintent dans ma culotte, font grossir mes seins, rosir mes aréoles… Tu n’as pas eu de mal à interpréter ces signaux corporels…
- Non, j’ai été éduqué par une femme… Moi, c’est pareil, j’ai envie tout le temps… Mais je me calme, je cache ce phénomène idiot, qui allonge mon sexe malgré-moi, le durcit, au point de se faire remarquer par toutes les coquines du Lycée…
- Tu plais, je sais… C’est la valse des *******tes atour de toi, elles aimeraient toutes être tes élues…
- Oh, pas tant que ça, il y a les jeunettes, certaines sont plus âgées… C’est tentant… Comme ta main que j’aimerais serrer dans la mienne, en te draguant innocemment…
- Je te la donne en gage de nos secrets échanges… 20 ans tu dis ? des vieilles ! Tu as souvent conclu, tous âges confondus ?
- Autant que toi je pense, de quoi passer une bonne heure en évoquant nos souvenirs…
- Tu as tout fait déjà ?
- Tout c’est immense… Je ne connais pas tout… C’est suffisant pour te faire jouir des deux côtés, t’emmener dans des chemins du plaisir, monter si haut que tu oublies qui tu es, en savourant tes orgasmes…
Je peux me retenir au moins une heure, pour te faire atteindre le nirvana, à vouloir libérer tes propres hormones, ressentir la substantifique semence remplir enfin ton vagin, empalée comme une catin, chevauchant mon engin de course…
- Oh, quel discours ! Je te dis que je sors d’un coït féminin qui a duré toute la nuit, et tu me parles de performances ? Tu veux me faire l’amour ?
- Ben…
- Je te fais un pari, si tu exploses en moi trois fois consécutivement, je te place en tête du hit de mes amants…
- Et ? J’aurais droit à quoi ?
- Exaucer un de tes fantasmes ?
- D’accord, alors on va où ?
- Mes parents sont à Paris avec ma sœur cadette, mon frère vit à Bordeaux depuis 1 an, pour ses études de droit… Et ma copine m’a aidée à refaire mon lit…
- Tu ne m’as pas menti ?
- Non, et toi ?
- Non plus, je suis apte à tenir le pari…
Le chemin n’est pas très long, il a saisi ma main en chemin, après avoir forcé ma timidité d’une façon originale… J’en suis étonnée… Cette camaraderie, le fait que je le connaissais de vue, avec quelques échanges classique entre ados, m’a changée en cougar ?
C’est moi qui l’ai dragué, et j’ai même osé ce pari stupide…
Je ne l’aurais pas fait il y a quelques semaines, avant de devenir jeune femme…
On a échangé notre premier baiser sous un saule pleureur…
J’ouvre le portail et la porte d’entrée que je referme précautionneusement, et l’invite à me suivre dans ma chambre…
Je nous enferme, prends quelques boissons, et me tourne vers lui…
Je me sens prête, autant prendre les devants… Me ******, ****** cette façon de réfléchir…
Me prouver que je peux être une femme libre…
C’est moi qui ai déclenché tout ça, alors Mery, assume !…
- J’enlève le haut, tu les as mérité… D’en parler cela les a excités !
- Alors j’enlève le bas… Il est là pour ça ! Je m’installe sur le dos, pour te prouver ma bonne foi, et respecter mon contrat de non-agression…
- Alors, moi aussi, je suis là pour ça ! Et j’aime la liberté totale, serre-moi dans tes bras… Oh, il est dur !
- Oh, eux aussi, allonge-toi… Embrasse-moi…
Il est beau, grand, tu t’es glissée sur lui, à califourchon sur son bassin, il masse tes seins…
Tu penses à ce sexe, qui n’est pas loin du tien…
Ta caresse le fait grogner, son vit remonte vers ta grotte, et te fait gémir de désir…
Vos langues s’entrecroisent, jouent au bal des vampires…
Tu masses cette bite énorme, il n’a pas menti, tu as quelques craintes…
Tu la serres dans ta main, tendrement, puis la pointe vers ta vulve détrempée de désir…
- C’est divin, comme entrée en matière…
- Pas de fioritures, juste l’essentiel…
Son gland s’abreuve dans ton minou, comme un naufragé…
Tu t’ouvres comme une huitre affamée…
- La pression est atteinte…
- Le moteur est chaud…
Rencontre du 3ème type…
Je replie un peu mes cuisses, il pousse fort…
Quand ça glisse, c’est divin, une foreuse, pour chercher mon trésor…
On est l’un dans l’autre !… Muets ! Ebahis de ce plaisir total…
Il a pris mes deux mains dans les siennes et les a relevées au-dessus de ma tête et nos corps font l’amour, sexe à sexe…
Je retiens mes râles, j’apprécie sa douceur, ses attentions, et je ne ressens aucune douleur, bien au contraire… Je m’inquiétais pour rien…
C’est divin, jouissif, je coule de plaisir, me contracte, enserre son sexe dans mon vagin, pour le faire exploser… Mon amie m’a appris ça… Et ça marche ! Presque !...
Mais il résiste le bougre, ses mains redescendent sur mes fesses, il pousse son bassin en moi, son dard gagne millimètre après millimètre, je me relève, me détends, je jouis de lui, empalée, en amazone, mon bassin va plus vite, je happe son mandrin, il se tord…
Je le resserre de nouveau… Je sens mon orgasme arriver…
- Viens !
- Non, toi, viens !
Je retombe dans ses bras épuisée, je sens qu’il débande…
- 1 à 1 ?
- Oui, 1 partout, tu es géniale…
- Tu es divin…
Son sperme coule sur mon pubis…
Nos lèvres sont scellées… J’adore cette façon de baiser, simple, naturelle, sans façon…
Je me suis assoupie… Il me sourit…
On boit un jus de fruit…
- On continue ?
- Avec plaisir ! Je te laisse le choix du comment…
- Merci… En levrette… Tu ne vas pas résister…
- Qui sait, j’ai peut-être un truc tabou, qui fait crac, boom, hue !
- Tu as juste dix-huit ans ?
- Oui, mais on m’a initié aux jeux interdits à 16… Tu es prête ?
- Je me cale, et ne te trompe pas…
- Je suis réglo, quoique j’aime aussi…
- On verra au 3ème épisode…
Le gland majestueux ouvre ma minette, encore humide de sa semence…
Je me laisse aller, je me décontracte, mais c’est divin, il est déjà au fond !
Bien plus loin, bien plus gros, bien plus intense…
Mes seins ballotent, ils sont gonflés de désir…
Il se cale aussi, serre mes hanches, et me pilonne…
Je jouis, je jouis, je feule, je m’envole…
Ses mains massent mes seins, je suis aux anges !
Ma vulve glougloute… On sourit…
- Maintenant ?
- Non, attends !... Doucement, c’est trop bon !
- Tu es si délicieuse, ton fourreau de soie, berce mon membre, le cajole, me fait jouir…
- Je jouis aussi… Continue lentement… Je me sens tienne…
- Alors, tiens… Un bonus !
Un doigt glisse dans ma chatte, vise mon clito, et c’est la fête au village !...
Tout se met à tourner, comme sur un manège enchanté, la chambre, le lit, lui, une main sur un sein, l’autre dans ma vulve, et il joue du piano à genoux !...
- Je viens… Tu me fais tourner !
- Alors lâche-toi ! Mery tu es une princesse de l’amour… Timide, mais désireuse de tout découvrir, sans tabou… Tu te donnes sans filet, et j’adore…
Et un pouce s’aventure vers ma rondelle, j’explose, orgasme, feule, gémis, tombe en avant, tête dans mes mains, et il me plante encore, et encore, savourant clito et vulve, anus et clito, etc…
Il grogne, il vient de jouir enfin…
Pour la seconde fois… Je m’écroule, épuisée…
Il me serre contre lui, c’est pas de la triche, je sens couler sa semence sur mes draps… Je le goûte…
- Tu es rare comme garçon… Je ne m’attendais pas à jouir comme ça, ce soir…
- Un peu de sentimentalité, un brin de respect, un discours honnête, sincère, précis, et ton esprit se relâche, ton corps devient soumis, le désir s’installe, on s’unit dans le partage, la générosité, la complicité de cette rencontre… J’en suis aussi surpris, fortement attiré par tes charmes, je me sens aspiré dans un tourbillon des sens…
- Je viens de perdre le nord, sublimer mon plaisir en me donnant à toi…
Le repos est bien mérité, je reprends mon intégrité, l’intégralité de mon corps…
On s’embrasse, on s’enlace… Silence… Plus d’une heure, déjà…
- Qui décide de la suite ? Du 3ème épisode ?
- Honneur aux dames !
- Je sais ce que tu aimes, tu me l’as dévoilé… Ce que tu aimes faire aux plus âgées…
- Faire l’amour en totalité, découvrir tout de l’autre, même si je ne suis pas du sexe que tu préfères, et justement, pense que ce que tu vas ressentir, ne se pratique au réel, qu’avec nous…
- Les machos ? Les détraqués ? Les pervers ?
- Non, les amants libertins, qui prouvent leur respect en honorant leur amante, d’un acte intégral, concluant une rencontre sublime…
- Tu le fais souvent ?
- Non… Mais je suis doux et sincère, tu n’as qu’à dire « NON ! » et je m’interromps…
- Tu seras le premier, Yann… En vrai, sans artifice, ni jouet…
Je m’installe en levrette, il vient entre mes jambes, je le sens glisser, mouiller mon orifice, je ne respire plus, j’attends…
Le gland coquin s’avance, glisse, ouvre ma porte, il est tendre et attentif à mes réactions qui ne viendront pas…
Bien au contraire, mon ventre est envahi par son dard imposant, je me sens fouillée, et dès qu’il bouge, commençant sa valse, je ressens mon plaisir, graduellement, jusqu’au bien-être total…
Je me sens empalée, je me sens chienne, je suis sienne, je lui appartiens, il me délivre, me secoue, plus macho, c’est son tour…
Je le laisse me prouver son endurance, feuler mon plaisir comme une chatte en chaleur…
Il prend mes chevilles et conduit le navire, mon méat fait un bruit de caverne, son sexe va et vient comme un métronome, je jouis, lui aussi, en prouvant sa dominance, je lui crie que je l’aime, que je suis sienne, le nirvana est dépassé !
Etreinte sur le côté, son sexe planté dans mon vagin, pour un repos mérité, dans son écrin naturel, bien que vidé, il est encore raidi, et je pleure la fin de cette aventure, en ondulant mon ventre…
Que c’est bon de sentir son sexe rassurant, aimant, performant !
Ce moment sera gravé dans ma mémoire, je me souviens de l’avoir écrit dans mon carnet…
- Alors ?
- Tu as gagné ! Trois fois ce soir, et pas n’importe comment ! Avec panache…
- Donc, pas de gage… Mais on n’avait rien fixé pour toi, si je gagnais ?
- Euh… Non… ? Tu es certain ?
- Oui…
- Alors le même… Je ferai ce que tu m’ordonnes… La prochaine fois…
- Ah ! Tu veux me revoir ?
- Toi et ta bite, que j’aurais pu photographier, pour la regarder dans mon lit, en pensant à un homme rare…
FIN
p/o Marika84 – janvier 2024
Tu avais franchi la quasi-totalité de ton parcours d’*********…
Garçon, fille, fille, garçon, fille, fille… Ton penchant était devenu évident…
Tu sortais juste, des bras d’une nouvelle amie, qui t’avait raccompagnée chez tes parents absents, tu lui avais proposé de monter, elle n’était redescendue que ce matin, vers 9 heures…
Tu papillonnais ces temps-ci, goûtant le nectar de ces fleurs tendres, aux calices rosés, que tu inaugurais souvent, que tu léchais avec délice et sans modération, même âge, même sexe, même attirance, que tu cueillais au hasard de tes rencontres…
Ce dimanche après-midi, dans ta promenade habituelle, tu avais remarqué un garçon qui semblait te suivre sur le tour du lac. Tu le connaissais sans plus, il allait au même Lycée que toi, tu l’avais croisé dans un bar avec ses copains…
Tu le trouvais pas mal physiquement, sensoriel, sensuel, pas trop niais, il t’avait fait de doux compliments, mais tu n’étais pas dupe, et tu savais ce qu’il voulait !
Quand tu étais au bord du lac, tu revivais souvent, comme maintenant, ces scènes intimes, ta jouissance, ton plaisir de jeune femme, vos tendres envolées saphiques, ces élans enfiévrés, qui vous avaient menées à l’orgasme, cette nuit…
Le garçon te rattrapa… Tu étais assise sur ton banc préféré… Il s’assit à ton côté…
Tu acceptas d’oublier tes pensées, et te tourna vers lui…
Ses yeux bleus de nordiste, buvaient ton regard, tu n’y étais pas insensible…
Il te racontait un peu de sa vie, comblant tes informations et validant tes souvenirs…
Tu sondas le personnage…
- Tu es avec Jeanne, non ?
- Fini… Non seul… Et je t’ai vue passer, seule aussi, le destin ?
- Tu ne penses qu’à ma chatte, destin de femme… Ce matin, elle était butinée par une langue féminine avide… On aime le sucré de notre nectar…
- Ma langue pourrait s’y glisser, et raviver tes souvenirs, laper ta vulve à t’emporter dans les étoiles, pour revivre ces moments de féminité, malgré ma langue masculine…
- Certains sucent très bien, c’est un fait…
- Tu as beaucoup d’expérience ?
- Suffisamment pour comparer, maintenant… Tu me plais, tu es direct, tu t’exprimes en homme, pas en benêt, galant tu me fais la cour, avec les mots que j’aime entendre…. Tu ne caches pas ton désir de me culbuter… Mes hormones débordent en ce moment, suintent dans ma culotte, font grossir mes seins, rosir mes aréoles… Tu n’as pas eu de mal à interpréter ces signaux corporels…
- Non, j’ai été éduqué par une femme… Moi, c’est pareil, j’ai envie tout le temps… Mais je me calme, je cache ce phénomène idiot, qui allonge mon sexe malgré-moi, le durcit, au point de se faire remarquer par toutes les coquines du Lycée…
- Tu plais, je sais… C’est la valse des *******tes atour de toi, elles aimeraient toutes être tes élues…
- Oh, pas tant que ça, il y a les jeunettes, certaines sont plus âgées… C’est tentant… Comme ta main que j’aimerais serrer dans la mienne, en te draguant innocemment…
- Je te la donne en gage de nos secrets échanges… 20 ans tu dis ? des vieilles ! Tu as souvent conclu, tous âges confondus ?
- Autant que toi je pense, de quoi passer une bonne heure en évoquant nos souvenirs…
- Tu as tout fait déjà ?
- Tout c’est immense… Je ne connais pas tout… C’est suffisant pour te faire jouir des deux côtés, t’emmener dans des chemins du plaisir, monter si haut que tu oublies qui tu es, en savourant tes orgasmes…
Je peux me retenir au moins une heure, pour te faire atteindre le nirvana, à vouloir libérer tes propres hormones, ressentir la substantifique semence remplir enfin ton vagin, empalée comme une catin, chevauchant mon engin de course…
- Oh, quel discours ! Je te dis que je sors d’un coït féminin qui a duré toute la nuit, et tu me parles de performances ? Tu veux me faire l’amour ?
- Ben…
- Je te fais un pari, si tu exploses en moi trois fois consécutivement, je te place en tête du hit de mes amants…
- Et ? J’aurais droit à quoi ?
- Exaucer un de tes fantasmes ?
- D’accord, alors on va où ?
- Mes parents sont à Paris avec ma sœur cadette, mon frère vit à Bordeaux depuis 1 an, pour ses études de droit… Et ma copine m’a aidée à refaire mon lit…
- Tu ne m’as pas menti ?
- Non, et toi ?
- Non plus, je suis apte à tenir le pari…
Le chemin n’est pas très long, il a saisi ma main en chemin, après avoir forcé ma timidité d’une façon originale… J’en suis étonnée… Cette camaraderie, le fait que je le connaissais de vue, avec quelques échanges classique entre ados, m’a changée en cougar ?
C’est moi qui l’ai dragué, et j’ai même osé ce pari stupide…
Je ne l’aurais pas fait il y a quelques semaines, avant de devenir jeune femme…
On a échangé notre premier baiser sous un saule pleureur…
J’ouvre le portail et la porte d’entrée que je referme précautionneusement, et l’invite à me suivre dans ma chambre…
Je nous enferme, prends quelques boissons, et me tourne vers lui…
Je me sens prête, autant prendre les devants… Me ******, ****** cette façon de réfléchir…
Me prouver que je peux être une femme libre…
C’est moi qui ai déclenché tout ça, alors Mery, assume !…
- J’enlève le haut, tu les as mérité… D’en parler cela les a excités !
- Alors j’enlève le bas… Il est là pour ça ! Je m’installe sur le dos, pour te prouver ma bonne foi, et respecter mon contrat de non-agression…
- Alors, moi aussi, je suis là pour ça ! Et j’aime la liberté totale, serre-moi dans tes bras… Oh, il est dur !
- Oh, eux aussi, allonge-toi… Embrasse-moi…
Il est beau, grand, tu t’es glissée sur lui, à califourchon sur son bassin, il masse tes seins…
Tu penses à ce sexe, qui n’est pas loin du tien…
Ta caresse le fait grogner, son vit remonte vers ta grotte, et te fait gémir de désir…
Vos langues s’entrecroisent, jouent au bal des vampires…
Tu masses cette bite énorme, il n’a pas menti, tu as quelques craintes…
Tu la serres dans ta main, tendrement, puis la pointe vers ta vulve détrempée de désir…
- C’est divin, comme entrée en matière…
- Pas de fioritures, juste l’essentiel…
Son gland s’abreuve dans ton minou, comme un naufragé…
Tu t’ouvres comme une huitre affamée…
- La pression est atteinte…
- Le moteur est chaud…
Rencontre du 3ème type…
Je replie un peu mes cuisses, il pousse fort…
Quand ça glisse, c’est divin, une foreuse, pour chercher mon trésor…
On est l’un dans l’autre !… Muets ! Ebahis de ce plaisir total…
Il a pris mes deux mains dans les siennes et les a relevées au-dessus de ma tête et nos corps font l’amour, sexe à sexe…
Je retiens mes râles, j’apprécie sa douceur, ses attentions, et je ne ressens aucune douleur, bien au contraire… Je m’inquiétais pour rien…
C’est divin, jouissif, je coule de plaisir, me contracte, enserre son sexe dans mon vagin, pour le faire exploser… Mon amie m’a appris ça… Et ça marche ! Presque !...
Mais il résiste le bougre, ses mains redescendent sur mes fesses, il pousse son bassin en moi, son dard gagne millimètre après millimètre, je me relève, me détends, je jouis de lui, empalée, en amazone, mon bassin va plus vite, je happe son mandrin, il se tord…
Je le resserre de nouveau… Je sens mon orgasme arriver…
- Viens !
- Non, toi, viens !
Je retombe dans ses bras épuisée, je sens qu’il débande…
- 1 à 1 ?
- Oui, 1 partout, tu es géniale…
- Tu es divin…
Son sperme coule sur mon pubis…
Nos lèvres sont scellées… J’adore cette façon de baiser, simple, naturelle, sans façon…
Je me suis assoupie… Il me sourit…
On boit un jus de fruit…
- On continue ?
- Avec plaisir ! Je te laisse le choix du comment…
- Merci… En levrette… Tu ne vas pas résister…
- Qui sait, j’ai peut-être un truc tabou, qui fait crac, boom, hue !
- Tu as juste dix-huit ans ?
- Oui, mais on m’a initié aux jeux interdits à 16… Tu es prête ?
- Je me cale, et ne te trompe pas…
- Je suis réglo, quoique j’aime aussi…
- On verra au 3ème épisode…
Le gland majestueux ouvre ma minette, encore humide de sa semence…
Je me laisse aller, je me décontracte, mais c’est divin, il est déjà au fond !
Bien plus loin, bien plus gros, bien plus intense…
Mes seins ballotent, ils sont gonflés de désir…
Il se cale aussi, serre mes hanches, et me pilonne…
Je jouis, je jouis, je feule, je m’envole…
Ses mains massent mes seins, je suis aux anges !
Ma vulve glougloute… On sourit…
- Maintenant ?
- Non, attends !... Doucement, c’est trop bon !
- Tu es si délicieuse, ton fourreau de soie, berce mon membre, le cajole, me fait jouir…
- Je jouis aussi… Continue lentement… Je me sens tienne…
- Alors, tiens… Un bonus !
Un doigt glisse dans ma chatte, vise mon clito, et c’est la fête au village !...
Tout se met à tourner, comme sur un manège enchanté, la chambre, le lit, lui, une main sur un sein, l’autre dans ma vulve, et il joue du piano à genoux !...
- Je viens… Tu me fais tourner !
- Alors lâche-toi ! Mery tu es une princesse de l’amour… Timide, mais désireuse de tout découvrir, sans tabou… Tu te donnes sans filet, et j’adore…
Et un pouce s’aventure vers ma rondelle, j’explose, orgasme, feule, gémis, tombe en avant, tête dans mes mains, et il me plante encore, et encore, savourant clito et vulve, anus et clito, etc…
Il grogne, il vient de jouir enfin…
Pour la seconde fois… Je m’écroule, épuisée…
Il me serre contre lui, c’est pas de la triche, je sens couler sa semence sur mes draps… Je le goûte…
- Tu es rare comme garçon… Je ne m’attendais pas à jouir comme ça, ce soir…
- Un peu de sentimentalité, un brin de respect, un discours honnête, sincère, précis, et ton esprit se relâche, ton corps devient soumis, le désir s’installe, on s’unit dans le partage, la générosité, la complicité de cette rencontre… J’en suis aussi surpris, fortement attiré par tes charmes, je me sens aspiré dans un tourbillon des sens…
- Je viens de perdre le nord, sublimer mon plaisir en me donnant à toi…
Le repos est bien mérité, je reprends mon intégrité, l’intégralité de mon corps…
On s’embrasse, on s’enlace… Silence… Plus d’une heure, déjà…
- Qui décide de la suite ? Du 3ème épisode ?
- Honneur aux dames !
- Je sais ce que tu aimes, tu me l’as dévoilé… Ce que tu aimes faire aux plus âgées…
- Faire l’amour en totalité, découvrir tout de l’autre, même si je ne suis pas du sexe que tu préfères, et justement, pense que ce que tu vas ressentir, ne se pratique au réel, qu’avec nous…
- Les machos ? Les détraqués ? Les pervers ?
- Non, les amants libertins, qui prouvent leur respect en honorant leur amante, d’un acte intégral, concluant une rencontre sublime…
- Tu le fais souvent ?
- Non… Mais je suis doux et sincère, tu n’as qu’à dire « NON ! » et je m’interromps…
- Tu seras le premier, Yann… En vrai, sans artifice, ni jouet…
Je m’installe en levrette, il vient entre mes jambes, je le sens glisser, mouiller mon orifice, je ne respire plus, j’attends…
Le gland coquin s’avance, glisse, ouvre ma porte, il est tendre et attentif à mes réactions qui ne viendront pas…
Bien au contraire, mon ventre est envahi par son dard imposant, je me sens fouillée, et dès qu’il bouge, commençant sa valse, je ressens mon plaisir, graduellement, jusqu’au bien-être total…
Je me sens empalée, je me sens chienne, je suis sienne, je lui appartiens, il me délivre, me secoue, plus macho, c’est son tour…
Je le laisse me prouver son endurance, feuler mon plaisir comme une chatte en chaleur…
Il prend mes chevilles et conduit le navire, mon méat fait un bruit de caverne, son sexe va et vient comme un métronome, je jouis, lui aussi, en prouvant sa dominance, je lui crie que je l’aime, que je suis sienne, le nirvana est dépassé !
Etreinte sur le côté, son sexe planté dans mon vagin, pour un repos mérité, dans son écrin naturel, bien que vidé, il est encore raidi, et je pleure la fin de cette aventure, en ondulant mon ventre…
Que c’est bon de sentir son sexe rassurant, aimant, performant !
Ce moment sera gravé dans ma mémoire, je me souviens de l’avoir écrit dans mon carnet…
- Alors ?
- Tu as gagné ! Trois fois ce soir, et pas n’importe comment ! Avec panache…
- Donc, pas de gage… Mais on n’avait rien fixé pour toi, si je gagnais ?
- Euh… Non… ? Tu es certain ?
- Oui…
- Alors le même… Je ferai ce que tu m’ordonnes… La prochaine fois…
- Ah ! Tu veux me revoir ?
- Toi et ta bite, que j’aurais pu photographier, pour la regarder dans mon lit, en pensant à un homme rare…
FIN
p/o Marika84 – janvier 2024
vor 3 Monaten