Un super après-midi
Un super après-midi
Nous étions en plein mois de juillet. Cela faisait un petit moment que ma sexualité était un peu en berne. N’ayant rien a faire de spécial, je décidai d’aller tenter ma chance sur une plage un peu à l’écart, mais « bien fréquentée ».
Je me préparai soigneusement, Après un bon nettoyage de mon petit trou, je l’avais légèrement crémé pour parer à toute éventualité.
Côté vestimentaire, un short ultracourt en jean, moulant parfaitement mon petit cul, quant au haut un petit top rose, qui lui aussi me moulait parfaitement. Après 8 mois sous hormones, ma poitrine avait joliment poussé. Depuis j’arborai avec fierté deux jolies petites mandarines. De plus mes aréoles avaient elles aussi profité du traitement et s’étaient bien élargies.
Nul besoin de soutien gorge, si bien que mes tétons pointaient sans retenue sous le fin tissu. Mes cheveux blonds retenus par un chouchou rose formaient une queue de cheval, et une petite frange balayait mon front.
Jetant un petit coup d’œil j’admirai mon look. Satisfait de mon image, j’ajoutai quelques touches de parfum pour parachever ma préparation.
Bien, Sandy, te voilà prête pour la chasse au mâle.
Après avoir parcouru les quelques kilomètres me séparant de mon terrain de chasse de prédilection, je me garai. Je pris mon petit sac à dos contenant d’indispensables petites choses, et me dirigeai vers la plage.
Comme d’habitude il y avait quelques hommes disséminés sur la plage, sûrement en attente d’une bonne compagnie.
Je m’installai dans un coin désert, me dénudait totalement, et m’allongeai sur ma serviette. Le soleil chauffait, mais pas trop, suffisamment pour réchauffer mon postérieur joufflu.
Je n’eus pas attendre longtemps. Un bruit de pas annonçait la venue d’un amant potentiel. Les pas s’arrêtèrent devant moi. Je levai les yeux. Devant moi se tenait un homme d’une trentaine d’années, nu bien sûr. Entièrement bronzé, un corps musclé, mais le plus intéressant pendait doucement entre ses jambes. L’homme ne bandait pas, mais son sexe devait bien déjà faire au moins 18 cm. La simple vue de cette queue me mit l’eau à la bouche.
- Dis-moi mon chou, tu cherches un peu de compagnie ?
- Oui j’en serais ravie.
- Bien, pour commencer si tu suçais ma queue avec ces jolies lèvres.
Sans répondre je me relevai, et saisis le sexe de l’homme. J’effectuai quelques mouvements de branle, à la grande satisfaction du mâle. Sa queue était chaude, je la sentais palpiter dans ma main, bien qu’elle n’en fasse pas complètement le tour.
-Bien ma petite salope, tu as l’air d’aimer la bite, allez bouffe-moi la queue.
Je n’hésitai pas un instant, j’ouvris ma bouche, après l’avoir décalotté, puis sortant ma langue, je léchai le gland.
Un délice, il était légèrement humide car son méat suintait. Je glissai le bout de ma langue dans ce minuscule orifice, récupérant cette petite goutte de nectar. Puis je léchai à nouveau tout le gland, puis léchai la colonne jusqu’aux testicules. J’appréciai le fait que son sexe fut entièrement rasé. J’avalai les deux jolies boules bien lisses, puis les fit rouler dans ma bouche. Elles étaient bien gonflées, remplies de nectar.
Après les avoir copieusement malaxées dans ma bouche, je les recrachai, couvertes de ma bave. Je remontai avec ma langue jusque au gland, puis ouvrant ma bouche, j’avalai un bon morceau de la tige qui grâce à mes efforts se tendait, rigide comme une barre d’acier.
- Ouais c’est bien salope pompe moi le nœud, profite de ma bite, elle adore être sucée.
- Encouragée, je me mis à pomper un peu plus vite, tournant légèrement autour, pendant que ma langue léchait le dessous de sa bite. Comme à mon habitude, je salivai énormément, rendant l’étui de ma bouche encore plus accueillant. Ma salive coulait un peu sur mon menton.
- Chaque fois que je me retirai je contemplai sa queue, elle était devenue énorme. Elle devait bien faire maintenant plus de 20 centimètres. Heureusement que dame nature m’avait doté d’une grande bouche.
- Ma bouche bien lubrifiée, j’en profitai pour faire une gorge profonde. Après des heures d’entraînement sur un gros gode, j’étais à même d’avaler la plupart des bites que je suçai.
- Woh ! T’es une sacrée bouffeuse de bite.
Je collai ma bouche à la racine du sexe, l’homme en profita pour poser ses mains sur ma nuque, me laissant empalée sur son gros engin. Il me garda un bon moment avant de lâcher sa prise.
- T’es vraiment une bonne petite putain, je suis sûr que tu dois être aussi bonne du cul. Profites encore avec ta bouche avant que je t’encule comme tu le mérites.
Je continuai à le sucer, pompant à fond cette magnifique queue, je creusai mes lèvres pour augmenter la succion. Maintenant ma salive dégoulinait sans arrêt sur mon menton, puis commençait à inonder ma poitrine. Sa queue coulissait dans ma bouche comme un piston bien huilée. J’adore faire des pipes bien baveuses.
Quelques minutes plus tard le mâle retira sa bite, elle dégoulinait.
-Allez mets toi à quatre pattes sale petie chienne, montre moi ton cul.
Obéissante, je pris la position demandée, puis des deux mains j’écartai mes fesses, dévoilant ma petite chatte de trave.
-Woh ! Ca c’est du spectacle, ton petit trou est superbe. Ca va faire un superbe étui pour ma bite, je vais te gâter comme tu le mérites.
L’homme s’agenouilla derrière moi, puis cracha plusieurs fois sur ma rondelle, satisfait, il enfonça un doigt puis deux dans mon fondement, en les faisant tourner.
-Mummm ! oh oui ! Enfonce les bien.
-Petite pute ça te plait, ta chatte est bien humide.
Puis il retira ses doigts et les fourra dans ma bouche. Sans hésiter je les suçai. J’adore le goût de mon cul. Il répéta la manœuvre plusieurs fois pour mon plus grand plaisir.
Enfin je sentis son gland épais glisser dans ma raie, cette fois il allait me la mettre. Je n’en pouvais plus d’attendre. Il poussa un bon coup, m’empalant brutalement sur son superbe engin. Bien que ma chatte avait été soigneusement lubrifiée, j’eus l’impression d’être ouverte en deux. J’étais prise à fond, ses couilles caressaient mes cuisses.
Il resta un moment sans bouger, me laissant le temps de m’accoutumer à son énorme engin, puis commença à me limer . Il me baisait en de longs va et vient me faisant profiter de toute la longueur de son sexe.
- Alors ma choute, elle te ramone bien ma queue ?
- Oh oui, mummmm ! j’adore, baise moi bien à fond, salaud, bourre moi le cul, défonce-moi.
- -A ton service salope.
Cette fois, il prit mes hanches fermement puis se mit à m’enculer sauvagement. J’avais l’impression qu’un train me passait dessus. Sa queue me labourait sans discontinuer. Sous moi ma petite bite de trave, mon clito devrais-je plutôt l’appeler, se balançait au rythme sauvage imposée par mon enculeur. Un petit filet de sperme s’en écoulait. J’étais au paradis. Il y avait longtemps que je n’avais pas été baisée come ça.
La baise sauvage faisait des bruits humides, m’excitant encore plus. Dans ma tête je voyais la queue me pénétrer, mon petit trou dilaté au maximum, enserrant la monstrueuse bite de mon enculeur.
Secouée comme une poupée de son je me laissai baiser, profitant de cette bonne baise.
Il me lima encore bien un bon quart d’heure avant de se retirer. Pendant tout le temps de l’enculage, mon petit clito avait coulé sans discontinuer, formant une petite mare sur ma serviette.
-C’est l’heure de ta récompense petite chienne, je n’aime pas que mon sperme se perde dans un cul, et je suis certain que tu dois aimer bouffer du foutre. Sur ces bonnes paroles, il décula, puis m’offrit sa bite à sucer. J’ouvris ma bouche en grand pour accueillir sa bite, aussitôt l’homme me fourra son sexe, m’empalant jusqu’au fond de ma gorge.
-Allez bouffe salope, ta récompense va arriver.
L’homme avait saisi mes cheveux, s’en servant comme une poignée, il me fit aller et venir sur sa bite ; Il me dominait complètement, faisant de moi son sexe toy. Puis soudain un flot de foutre envahit ma gorge, ponctué par les grognements du mâle en pleine jouissance. Les jets de foutre se succédaient. L’éjaculation était tellement énorme que j’avais du mal à déglutir. J’en avalais une bonne partie. Enfin le flot de sperme s’arrêta. Ma bouche était encore pleine de jus. J’adore me faire remplir, dégorger de belles queues bien juteuses. L’homme ne bougeait plus. En bonne petite ménagère je me préparai à nettoyer cette belle queue ; Pour le plaisir de voir son sperme, je laissai dégouliner le foutre sur sa queue, puis je me mis à nouveau à lui pomper le dard. Un festin de sperme. Satisfait l’homme se retira, puis rentra son sexe débandé.
-Tu as été parfaite. Désolé d’avoir été un peu trop rude avec toi, mais quand je baise je deviens un vrai sauvage.
- Pas de souci mon chou, j’avais besoin de me faire bourrer la chatte et tu l’as fait superbement.
L’homme se pencha, puis embrassa ma bouche encore toute barbouillée de jus.
-Salut ma belle et au plaisir de te revoir.
Je m’apprêtais à me lever, quand je sentis deux mains agripper mes hanches. Avant que j’ai pu faire le moindre geste, je sentis une queue pénétrer ma chatte.
-Trop tentante ta croupe ma belle me dit l’intrus.
Me retournant je vis l’homme, un jeune black bien musclé. Tout compte fait l’idée de me faire sauter à nouveau ne me déplaisait pas.
J’avais juste son gland dans mon intimité, d’un petit coup sec en arrière je m’empalai à fond sur sa queue. Hum ! super. Mon cul bien rempli à nouveau. Parfait pour une chienne dans mon genre.
-Putain ! il ne faut pas t’en promettre toi.
-Vas-y salaud démonte le cul.
-A tes ordres ma chérie.
Et aussitôt l’homme se mit à me pilonner. Une vraie machine de guerre. Sous les coups de boutoir, je me mis à gémir. Trop bon. Soudain une ombre s’interposa entre le soleil et moi, ouvrant les yeux, je vis un jeune garçon, légèrement efféminé, un joli petit minet mignon à croquer. Admirant nos ébats, il se branlait sans retenue.
-Tu veux participer mon chou ?
-Oh oui me répondit-il !
-Super, approche et donne-moi ta queue à sucer.
Le jeune n’eut pas besoin que je lui dise deux fois. Il s’approcha jusqu’à ce que sa bite touche mes lèvres. Sa queue avait un délicieux parfum musqué. J’humai son sexe quelques instants, puis j’ouvris ma bouche, aussitôt remplie par une bonne partie de sa bite. Quoi de meilleur pour une trave gourmande, que d’avoir deux mâles en train de la baiser. « Spit roasted »comme disent nos amis Anglais.
Le beau black oeuvrait dans mon cul, labourant mes chairs intimes, et le jeune , s’était mis à me baiser la bouche tout en douceur, pendant qu’une de ses mains s’emparait d’un de mes tétons, durci par l’excitation. Cet après-midi était plein de surprises. Mon activité sexuelle avait été un peu ralentie ces derniers temps, mais là je comblai mon retard à la vitesse grand V. Ma bouche remplie de salive, inondait le sexe du minet. Je sentais ma bave couler sur mes petits seins. La queue du jeune baignait dans ma salive.
Pendant ce temps le jeune black me pilonnait les reins. Une vraie machine de guerre. Deux enculages sévères dans la journée, trop bon. Je pensai aussi que le lendemain j’aurai sûrement un peu de mal à m’asseoir. Quand on aime il faut accepter quelques sacrifices . Rien de tel qu’un petit anus douloureux pour me rappeler ces délicieux instants.
Le mâle me baisait à longs traits, me faisant profiter de tout son membre. Quel pied mes chéries (ou plus justement quelle queue). De temps en temps il déculait complètement, avant de s’enfoncer brutalement, m’arrachant des cris de douleur matinés de plaisir.
Malheureusement toutes les meilleures choses ont une fois. L’homme ahanait, son soufle était devenu rapide. Je sentis son gros mandrin se dilater un peu plus, puis une violente décharge de foutre envahit mes reins, suivie de plusieurs autres. Une délicieuse douche intime. Il m’injecta une bonne dizaine de décharges, c’était incroyable. Mon petit cul était tellement rempli que je sentis une partie de son foutre dégouliner entre mes cuisses. L’home resta encore quelques instants en moi, le corps secoué de spasmes. Un vrai bonheur. Puis il se retira. Mon anus malmené, dégoulinant de foutre produisit un petit « plop »., comme pour signifier son regret de se retrouver à vide. L’homme essuya sa queue sur mes fesses, les maculant de sa liqueur séminale. Avant de partir, je reçus une vigoureuse claque sur les fesses, suivie d’un « merci grosse pute, je me suis bien vidé ». On nageait en plein romantisme.
Aussitôt parti, le minet que je suçai s’insinua sous moi. Hum ! délicate attention, il allait me faire une petite pipe, ma petite queue avait bien besoin de ce genre d’attention. A ma grande surprise, je sentis sa langue se poser sur mon œillet endolori. Le garçon se mit à lécher tout le foutre dégoulinant de ma petite chatte. Sa langue me faisait un bien fou, atténuant un peu la douleur des deux furieux enculages que je venais de subir.
Une fois qu’il eut nettoyé consciencieusement mon petit postérieur, je sentis sa langue s’enfoncer en moi. Cette petite cochone était une vraie bouffeuse de sperme. Pour son plaisir, je me forçai à contracter mon anus, forçant ainsi le délicieux liquide à sortir et inonder la bouche de cette petite salope. Le garçon s’activa encore un bon moment, jusqu'à épuisement de cette délicieuse provende.
Satisfait de son petit nettoyage, il engoufra ma queue pour la pomper avec vigueur.
De mon côté je n’étais pas en reste, lui prodiguant une superbe fellation. Notre petit duo de suceuses dura un bon moment, puis je sentis sa verge se contracter, puis son sperme envahit ma bouche, j’avalai goulument son jus, mais en même temps mon excitation à son paroxysme me fit éjaculer, emplissant la bouche du jeune garçon. Nous continuâmes encore un petit moment, savourant tous les deux nos jus respectifs.
Le garçon se retourna, son visage exprimait un plaisir intense, sa bouche était encore barbouillée de foutre, ses yeix brillaient de plaisir. Trop tentante, je collai ma bouche à la sienne, échangeant ainsi nos dernières gouttes de sperme. Notre baiser baveux dura encore un petit instant, puis nous nous séparâmes.
-Wow c’était vraiment super !
-Hum ! j’ai adoré moi aussi, j’ai fait un festin de foutre.
-Mon chou tu es vraiment une grosse cochonne.
-Le garçon éclata de rire. Je peux te retourner le compliment, sinon j’habite à quelques pas d’ici, si tu veux je t’invite à boire un verre…et plus si affinités.
Main dans la main nous quittâmes la plage. A mon avis, ce verre ne serait qu’une excuse pour nous entraîner vers des plaisirs débridés.
Solène
Ps : j'espère que cette petite histoire vous plaira, il mèle la réalité à la fiction. N'hésitez pas à me laisser un petit commentaire. Bises à tous et "enjoy"
Nous étions en plein mois de juillet. Cela faisait un petit moment que ma sexualité était un peu en berne. N’ayant rien a faire de spécial, je décidai d’aller tenter ma chance sur une plage un peu à l’écart, mais « bien fréquentée ».
Je me préparai soigneusement, Après un bon nettoyage de mon petit trou, je l’avais légèrement crémé pour parer à toute éventualité.
Côté vestimentaire, un short ultracourt en jean, moulant parfaitement mon petit cul, quant au haut un petit top rose, qui lui aussi me moulait parfaitement. Après 8 mois sous hormones, ma poitrine avait joliment poussé. Depuis j’arborai avec fierté deux jolies petites mandarines. De plus mes aréoles avaient elles aussi profité du traitement et s’étaient bien élargies.
Nul besoin de soutien gorge, si bien que mes tétons pointaient sans retenue sous le fin tissu. Mes cheveux blonds retenus par un chouchou rose formaient une queue de cheval, et une petite frange balayait mon front.
Jetant un petit coup d’œil j’admirai mon look. Satisfait de mon image, j’ajoutai quelques touches de parfum pour parachever ma préparation.
Bien, Sandy, te voilà prête pour la chasse au mâle.
Après avoir parcouru les quelques kilomètres me séparant de mon terrain de chasse de prédilection, je me garai. Je pris mon petit sac à dos contenant d’indispensables petites choses, et me dirigeai vers la plage.
Comme d’habitude il y avait quelques hommes disséminés sur la plage, sûrement en attente d’une bonne compagnie.
Je m’installai dans un coin désert, me dénudait totalement, et m’allongeai sur ma serviette. Le soleil chauffait, mais pas trop, suffisamment pour réchauffer mon postérieur joufflu.
Je n’eus pas attendre longtemps. Un bruit de pas annonçait la venue d’un amant potentiel. Les pas s’arrêtèrent devant moi. Je levai les yeux. Devant moi se tenait un homme d’une trentaine d’années, nu bien sûr. Entièrement bronzé, un corps musclé, mais le plus intéressant pendait doucement entre ses jambes. L’homme ne bandait pas, mais son sexe devait bien déjà faire au moins 18 cm. La simple vue de cette queue me mit l’eau à la bouche.
- Dis-moi mon chou, tu cherches un peu de compagnie ?
- Oui j’en serais ravie.
- Bien, pour commencer si tu suçais ma queue avec ces jolies lèvres.
Sans répondre je me relevai, et saisis le sexe de l’homme. J’effectuai quelques mouvements de branle, à la grande satisfaction du mâle. Sa queue était chaude, je la sentais palpiter dans ma main, bien qu’elle n’en fasse pas complètement le tour.
-Bien ma petite salope, tu as l’air d’aimer la bite, allez bouffe-moi la queue.
Je n’hésitai pas un instant, j’ouvris ma bouche, après l’avoir décalotté, puis sortant ma langue, je léchai le gland.
Un délice, il était légèrement humide car son méat suintait. Je glissai le bout de ma langue dans ce minuscule orifice, récupérant cette petite goutte de nectar. Puis je léchai à nouveau tout le gland, puis léchai la colonne jusqu’aux testicules. J’appréciai le fait que son sexe fut entièrement rasé. J’avalai les deux jolies boules bien lisses, puis les fit rouler dans ma bouche. Elles étaient bien gonflées, remplies de nectar.
Après les avoir copieusement malaxées dans ma bouche, je les recrachai, couvertes de ma bave. Je remontai avec ma langue jusque au gland, puis ouvrant ma bouche, j’avalai un bon morceau de la tige qui grâce à mes efforts se tendait, rigide comme une barre d’acier.
- Ouais c’est bien salope pompe moi le nœud, profite de ma bite, elle adore être sucée.
- Encouragée, je me mis à pomper un peu plus vite, tournant légèrement autour, pendant que ma langue léchait le dessous de sa bite. Comme à mon habitude, je salivai énormément, rendant l’étui de ma bouche encore plus accueillant. Ma salive coulait un peu sur mon menton.
- Chaque fois que je me retirai je contemplai sa queue, elle était devenue énorme. Elle devait bien faire maintenant plus de 20 centimètres. Heureusement que dame nature m’avait doté d’une grande bouche.
- Ma bouche bien lubrifiée, j’en profitai pour faire une gorge profonde. Après des heures d’entraînement sur un gros gode, j’étais à même d’avaler la plupart des bites que je suçai.
- Woh ! T’es une sacrée bouffeuse de bite.
Je collai ma bouche à la racine du sexe, l’homme en profita pour poser ses mains sur ma nuque, me laissant empalée sur son gros engin. Il me garda un bon moment avant de lâcher sa prise.
- T’es vraiment une bonne petite putain, je suis sûr que tu dois être aussi bonne du cul. Profites encore avec ta bouche avant que je t’encule comme tu le mérites.
Je continuai à le sucer, pompant à fond cette magnifique queue, je creusai mes lèvres pour augmenter la succion. Maintenant ma salive dégoulinait sans arrêt sur mon menton, puis commençait à inonder ma poitrine. Sa queue coulissait dans ma bouche comme un piston bien huilée. J’adore faire des pipes bien baveuses.
Quelques minutes plus tard le mâle retira sa bite, elle dégoulinait.
-Allez mets toi à quatre pattes sale petie chienne, montre moi ton cul.
Obéissante, je pris la position demandée, puis des deux mains j’écartai mes fesses, dévoilant ma petite chatte de trave.
-Woh ! Ca c’est du spectacle, ton petit trou est superbe. Ca va faire un superbe étui pour ma bite, je vais te gâter comme tu le mérites.
L’homme s’agenouilla derrière moi, puis cracha plusieurs fois sur ma rondelle, satisfait, il enfonça un doigt puis deux dans mon fondement, en les faisant tourner.
-Mummm ! oh oui ! Enfonce les bien.
-Petite pute ça te plait, ta chatte est bien humide.
Puis il retira ses doigts et les fourra dans ma bouche. Sans hésiter je les suçai. J’adore le goût de mon cul. Il répéta la manœuvre plusieurs fois pour mon plus grand plaisir.
Enfin je sentis son gland épais glisser dans ma raie, cette fois il allait me la mettre. Je n’en pouvais plus d’attendre. Il poussa un bon coup, m’empalant brutalement sur son superbe engin. Bien que ma chatte avait été soigneusement lubrifiée, j’eus l’impression d’être ouverte en deux. J’étais prise à fond, ses couilles caressaient mes cuisses.
Il resta un moment sans bouger, me laissant le temps de m’accoutumer à son énorme engin, puis commença à me limer . Il me baisait en de longs va et vient me faisant profiter de toute la longueur de son sexe.
- Alors ma choute, elle te ramone bien ma queue ?
- Oh oui, mummmm ! j’adore, baise moi bien à fond, salaud, bourre moi le cul, défonce-moi.
- -A ton service salope.
Cette fois, il prit mes hanches fermement puis se mit à m’enculer sauvagement. J’avais l’impression qu’un train me passait dessus. Sa queue me labourait sans discontinuer. Sous moi ma petite bite de trave, mon clito devrais-je plutôt l’appeler, se balançait au rythme sauvage imposée par mon enculeur. Un petit filet de sperme s’en écoulait. J’étais au paradis. Il y avait longtemps que je n’avais pas été baisée come ça.
La baise sauvage faisait des bruits humides, m’excitant encore plus. Dans ma tête je voyais la queue me pénétrer, mon petit trou dilaté au maximum, enserrant la monstrueuse bite de mon enculeur.
Secouée comme une poupée de son je me laissai baiser, profitant de cette bonne baise.
Il me lima encore bien un bon quart d’heure avant de se retirer. Pendant tout le temps de l’enculage, mon petit clito avait coulé sans discontinuer, formant une petite mare sur ma serviette.
-C’est l’heure de ta récompense petite chienne, je n’aime pas que mon sperme se perde dans un cul, et je suis certain que tu dois aimer bouffer du foutre. Sur ces bonnes paroles, il décula, puis m’offrit sa bite à sucer. J’ouvris ma bouche en grand pour accueillir sa bite, aussitôt l’homme me fourra son sexe, m’empalant jusqu’au fond de ma gorge.
-Allez bouffe salope, ta récompense va arriver.
L’homme avait saisi mes cheveux, s’en servant comme une poignée, il me fit aller et venir sur sa bite ; Il me dominait complètement, faisant de moi son sexe toy. Puis soudain un flot de foutre envahit ma gorge, ponctué par les grognements du mâle en pleine jouissance. Les jets de foutre se succédaient. L’éjaculation était tellement énorme que j’avais du mal à déglutir. J’en avalais une bonne partie. Enfin le flot de sperme s’arrêta. Ma bouche était encore pleine de jus. J’adore me faire remplir, dégorger de belles queues bien juteuses. L’homme ne bougeait plus. En bonne petite ménagère je me préparai à nettoyer cette belle queue ; Pour le plaisir de voir son sperme, je laissai dégouliner le foutre sur sa queue, puis je me mis à nouveau à lui pomper le dard. Un festin de sperme. Satisfait l’homme se retira, puis rentra son sexe débandé.
-Tu as été parfaite. Désolé d’avoir été un peu trop rude avec toi, mais quand je baise je deviens un vrai sauvage.
- Pas de souci mon chou, j’avais besoin de me faire bourrer la chatte et tu l’as fait superbement.
L’homme se pencha, puis embrassa ma bouche encore toute barbouillée de jus.
-Salut ma belle et au plaisir de te revoir.
Je m’apprêtais à me lever, quand je sentis deux mains agripper mes hanches. Avant que j’ai pu faire le moindre geste, je sentis une queue pénétrer ma chatte.
-Trop tentante ta croupe ma belle me dit l’intrus.
Me retournant je vis l’homme, un jeune black bien musclé. Tout compte fait l’idée de me faire sauter à nouveau ne me déplaisait pas.
J’avais juste son gland dans mon intimité, d’un petit coup sec en arrière je m’empalai à fond sur sa queue. Hum ! super. Mon cul bien rempli à nouveau. Parfait pour une chienne dans mon genre.
-Putain ! il ne faut pas t’en promettre toi.
-Vas-y salaud démonte le cul.
-A tes ordres ma chérie.
Et aussitôt l’homme se mit à me pilonner. Une vraie machine de guerre. Sous les coups de boutoir, je me mis à gémir. Trop bon. Soudain une ombre s’interposa entre le soleil et moi, ouvrant les yeux, je vis un jeune garçon, légèrement efféminé, un joli petit minet mignon à croquer. Admirant nos ébats, il se branlait sans retenue.
-Tu veux participer mon chou ?
-Oh oui me répondit-il !
-Super, approche et donne-moi ta queue à sucer.
Le jeune n’eut pas besoin que je lui dise deux fois. Il s’approcha jusqu’à ce que sa bite touche mes lèvres. Sa queue avait un délicieux parfum musqué. J’humai son sexe quelques instants, puis j’ouvris ma bouche, aussitôt remplie par une bonne partie de sa bite. Quoi de meilleur pour une trave gourmande, que d’avoir deux mâles en train de la baiser. « Spit roasted »comme disent nos amis Anglais.
Le beau black oeuvrait dans mon cul, labourant mes chairs intimes, et le jeune , s’était mis à me baiser la bouche tout en douceur, pendant qu’une de ses mains s’emparait d’un de mes tétons, durci par l’excitation. Cet après-midi était plein de surprises. Mon activité sexuelle avait été un peu ralentie ces derniers temps, mais là je comblai mon retard à la vitesse grand V. Ma bouche remplie de salive, inondait le sexe du minet. Je sentais ma bave couler sur mes petits seins. La queue du jeune baignait dans ma salive.
Pendant ce temps le jeune black me pilonnait les reins. Une vraie machine de guerre. Deux enculages sévères dans la journée, trop bon. Je pensai aussi que le lendemain j’aurai sûrement un peu de mal à m’asseoir. Quand on aime il faut accepter quelques sacrifices . Rien de tel qu’un petit anus douloureux pour me rappeler ces délicieux instants.
Le mâle me baisait à longs traits, me faisant profiter de tout son membre. Quel pied mes chéries (ou plus justement quelle queue). De temps en temps il déculait complètement, avant de s’enfoncer brutalement, m’arrachant des cris de douleur matinés de plaisir.
Malheureusement toutes les meilleures choses ont une fois. L’homme ahanait, son soufle était devenu rapide. Je sentis son gros mandrin se dilater un peu plus, puis une violente décharge de foutre envahit mes reins, suivie de plusieurs autres. Une délicieuse douche intime. Il m’injecta une bonne dizaine de décharges, c’était incroyable. Mon petit cul était tellement rempli que je sentis une partie de son foutre dégouliner entre mes cuisses. L’home resta encore quelques instants en moi, le corps secoué de spasmes. Un vrai bonheur. Puis il se retira. Mon anus malmené, dégoulinant de foutre produisit un petit « plop »., comme pour signifier son regret de se retrouver à vide. L’homme essuya sa queue sur mes fesses, les maculant de sa liqueur séminale. Avant de partir, je reçus une vigoureuse claque sur les fesses, suivie d’un « merci grosse pute, je me suis bien vidé ». On nageait en plein romantisme.
Aussitôt parti, le minet que je suçai s’insinua sous moi. Hum ! délicate attention, il allait me faire une petite pipe, ma petite queue avait bien besoin de ce genre d’attention. A ma grande surprise, je sentis sa langue se poser sur mon œillet endolori. Le garçon se mit à lécher tout le foutre dégoulinant de ma petite chatte. Sa langue me faisait un bien fou, atténuant un peu la douleur des deux furieux enculages que je venais de subir.
Une fois qu’il eut nettoyé consciencieusement mon petit postérieur, je sentis sa langue s’enfoncer en moi. Cette petite cochone était une vraie bouffeuse de sperme. Pour son plaisir, je me forçai à contracter mon anus, forçant ainsi le délicieux liquide à sortir et inonder la bouche de cette petite salope. Le garçon s’activa encore un bon moment, jusqu'à épuisement de cette délicieuse provende.
Satisfait de son petit nettoyage, il engoufra ma queue pour la pomper avec vigueur.
De mon côté je n’étais pas en reste, lui prodiguant une superbe fellation. Notre petit duo de suceuses dura un bon moment, puis je sentis sa verge se contracter, puis son sperme envahit ma bouche, j’avalai goulument son jus, mais en même temps mon excitation à son paroxysme me fit éjaculer, emplissant la bouche du jeune garçon. Nous continuâmes encore un petit moment, savourant tous les deux nos jus respectifs.
Le garçon se retourna, son visage exprimait un plaisir intense, sa bouche était encore barbouillée de foutre, ses yeix brillaient de plaisir. Trop tentante, je collai ma bouche à la sienne, échangeant ainsi nos dernières gouttes de sperme. Notre baiser baveux dura encore un petit instant, puis nous nous séparâmes.
-Wow c’était vraiment super !
-Hum ! j’ai adoré moi aussi, j’ai fait un festin de foutre.
-Mon chou tu es vraiment une grosse cochonne.
-Le garçon éclata de rire. Je peux te retourner le compliment, sinon j’habite à quelques pas d’ici, si tu veux je t’invite à boire un verre…et plus si affinités.
Main dans la main nous quittâmes la plage. A mon avis, ce verre ne serait qu’une excuse pour nous entraîner vers des plaisirs débridés.
Solène
Ps : j'espère que cette petite histoire vous plaira, il mèle la réalité à la fiction. N'hésitez pas à me laisser un petit commentaire. Bises à tous et "enjoy"
vor 11 Monaten