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== Historique ==
== Historique ==
=== Lancement du label French Tech ===


Le 27 novembre 2013, [[Fleur Pellerin]], [[Ministre chargé du Numérique|ministre déléguée chargée du Numérique]] et [[Louis Gallois]], [[Secrétariat général pour l'investissement|commissaire général pour l'investissement]], officialisent la création du label « French Tech », terme préféré à « quartiers numériques » initialement choisi, car plus porteur à l'international<ref name=pellerin/>. Il s'accompagne d'une enveloppe de 200 millions d'euros d'investissements<ref name=pellerin/>. Son objectif est de mobiliser acteurs privés et publics pour favoriser la [[Croissance organique|croissance]] et le rayonnement international des [[start-up]]s françaises, dans le but de faire émerger l'équivalent d'un [[Google]] français ou européen<ref name=pellerin/>. En novembre 2014, neuf grandes villes françaises, parmi lesquelles [[Paris]], [[Nantes]] ou [[Montpellier]], reçoivent le label French Tech, valable pour trois ans<ref name=villes/>. Cette première vague de labellisations fait suite à un audit de chaque ville candidate, où ont notamment été évalués le nombre de start-ups locales et leurs [[Augmentation de capital|levées de fonds]] ou la présence d[[Incubateur d'entreprises|incubateurs et accélérateurs]] d'entreprises<ref name=villes/>.
Le 27 novembre 2013, [[Fleur Pellerin]], [[Ministre chargé du Numérique|ministre déléguée chargée du Numérique]] et [[Louis Gallois]], [[Secrétariat général pour l'investissement|commissaire général pour l'investissement]], officialisent la création du label « French Tech », terme préféré à « quartiers numériques » initialement choisi, car plus porteur à l'international<ref name=pellerin/>. Il s'accompagne d'une enveloppe de 200 millions d'euros d'investissements<ref name=pellerin/>. Son objectif est de mobiliser acteurs privés et publics pour favoriser la [[Croissance organique|croissance]] et le rayonnement international des [[start-up]]s françaises, dans le but de faire émerger l'équivalent d'un [[Google]] français ou européen<ref name=pellerin/>. En novembre 2014, neuf grandes villes françaises, parmi lesquelles [[Paris]], [[Nantes]] ou [[Montpellier]], reçoivent le label French Tech, valable pour trois ans<ref name=villes/>. Cette première vague de labellisations fait suite à un audit de chaque ville candidate, où ont notamment été évalués le nombre de start-ups locales et leurs [[Augmentation de capital|levées de fonds]] ou la présence d[[Incubateur d'entreprises|incubateurs et accélérateurs]] d'entreprises<ref name=villes/>.
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L'année suivante, [[Axelle Lemaire]], successeure de Fleur Pellerin, annonce un plan de développement de l'attractivité de la French Tech à l'international, notamment via un volet événementiel et le renforcement des French Tech Hubs, fédérant les communautés de start-uppers installées à l'étranger comme à [[Londres]], [[Singapour]] ou [[Tel Aviv]]<ref name=ambassadeurs/>. Est également créé le French Tech Ticket, dispositif destiné à attirer les jeunes entrepreneurs étrangers, avec l'objectif d'attirer 100 à 150 start-ups par an<ref name=offensive/>. Il donne à chaque entrepreneur un titre de séjour et une bourse de 1 500 euros par mois pendant un an ainsi qu'une aide à l'installation<ref name=offensive/>.
L'année suivante, [[Axelle Lemaire]], successeure de Fleur Pellerin, annonce un plan de développement de l'attractivité de la French Tech à l'international, notamment via un volet événementiel et le renforcement des French Tech Hubs, fédérant les communautés de start-uppers installées à l'étranger comme à [[Londres]], [[Singapour]] ou [[Tel Aviv]]<ref name=ambassadeurs/>. Est également créé le French Tech Ticket, dispositif destiné à attirer les jeunes entrepreneurs étrangers, avec l'objectif d'attirer 100 à 150 start-ups par an<ref name=offensive/>. Il donne à chaque entrepreneur un titre de séjour et une bourse de 1 500 euros par mois pendant un an ainsi qu'une aide à l'installation<ref name=offensive/>.


=== Déménagement et restructuration ===
Jusque-là installée au [[Ministère de l'Économie et des Finances (France)|ministère de l'Économie et des Finances]], à [[Quartier de Bercy|Bercy]], la French Tech déménage en septembre 2017 pour s'installer dans les locaux de [[Station F]], plus grand [[Incubateur d'entreprises|incubateur]] du monde inauguré le 29 juin précédent au sein de la [[halle Freyssinet]], à [[Paris]]<ref name=stationf/>. Ce déménagement acte la transformation du label en une structure de soutien à l'entrepreneuriat, avec l'objectif de rapprocher tous les acteurs de l'économie et de l'innovation : administration, start-ups ou instituts de recherche<ref name=stationf/>. La mission propose ainsi une simplification des démarches administratives pour les start-ups françaises ou l'accueil d'entrepreneurs étrangers et chercheurs voulant soumettre des projets d'entreprises<ref name=stationf/>.


Jusque-là installée au [[Ministère de l'Économie et des Finances (France)|ministère de l'Économie et des Finances]], à [[Quartier de Bercy|Bercy]], la French Tech déménage en septembre 2017 pour s'installer dans les locaux de [[Station F]], plus grand [[Incubateur d'entreprises|incubateur]] du monde inauguré le 29 juin précédent au sein de la [[halle Freyssinet]], à [[Paris]]<ref name=stationf/>. Ce déménagement acte la transformation du label en une structure de soutien à l'entrepreneuriat, avec l'objectif de rapprocher tous les acteurs de l'économie et de l'innovation : administration, start-ups ou instituts de recherche<ref name=stationf/>. La mission propose ainsi une simplification des démarches administratives pour les start-ups françaises ou l'accueil d'entrepreneurs étrangers et chercheurs voulant soumettre des projets d'entreprises<ref name=stationf/>. En décembre, David Monteau, ancien de l'[[Institut national de recherche en informatique et en automatique|INRIA]] parti en 2013 pour cofonder et diriger la French Tech, quitte la direction de la mission<ref name=monteau/>. Il est remplacé en mai 2018 par [[Kat Borlongan]], alors dirigeante de Five by Five, agence spécialisée dans l'[[innovation]] qu'elle a cofondée en 2013<ref name=borlongan/>.
Le 25 mai 2018, [[Kat Borlongan]] est nommée directrice de la French Tech en remplacement de [[David Monteau]]<ref>{{Lien web|titre=David Monteau quitte la French Tech : "Nous n’avons pas créé un gros machin public, mais un écosystème"|url=https://www.usine-digitale.fr/editorial/david-monteau-quitte-la-french-tech-nous-n-avons-pas-cree-un-gros-machin-public-mais-un-ecosysteme.N626113|date= 12 décembre 2017|site=Usine Digitale |consulté le= 26/06/2018}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|titre=Kat Borlongan, nouvelle directrice de la French Tech : "Les start-up ne doivent pas être juste des machines à cash" |url=https://www.usine-digitale.fr/editorial/kat-borlongan-nouvelle-directrice-de-la-french-tech-les-start-up-ne-doivent-pas-etre-juste-des-machines-a-cash.N698499|date=28 mai 2018 |site= Usine Digitale|consulté le=26/06/2018 }}</ref>.


En {{date||octobre|2018}}, [[Mounir Mahjoubi]] annonce que la stratégie de French Tech sera recentrée sur les [[scale-up]]s, la [[tech for good]] et la mixité sociale<ref>{{lien web|url=https://www.latribune.fr/technos-medias/innovation-et-start-up/nouveaux-labels-visa-simplifie-la-mission-french-tech-pivote-793442.html|titre=Nouveaux labels, Visa simplifié...|sous-titre=la Mission French Tech pivote|prénom=Sylvain|nom=Rolland|date={{date|10|octobre|2018}}|éditeur=[[La Tribune (France)|La Tribune]]}}</ref>.
En {{date||octobre|2018}}, [[Mounir Mahjoubi]] annonce que la stratégie de French Tech sera recentrée sur les [[scale-up]]s, la [[tech for good]] et la mixité sociale<ref>{{lien web|url=https://www.latribune.fr/technos-medias/innovation-et-start-up/nouveaux-labels-visa-simplifie-la-mission-french-tech-pivote-793442.html|titre=Nouveaux labels, Visa simplifié...|sous-titre=la Mission French Tech pivote|prénom=Sylvain|nom=Rolland|date={{date|10|octobre|2018}}|éditeur=[[La Tribune (France)|La Tribune]]}}</ref>.
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<ref name=ambassadeurs>{{Article |auteur1=Delphine Cuny |titre=Des ambassadeurs pour faire briller la French Tech à l’international |périodique=[[La Tribune (France, 1985)|La Tribune]] |date=31 janvier 2015 |lire en ligne=https://www.latribune.fr/start-up/20150131trib39a53cfa8/des-ambassadeurs-pour-faire-briller-la-french-tech-a-l-international.html |consulté le=22 septembre 2024 |accès url=libre}}</ref>
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<ref name=borlongan>{{Article |auteur1=Juliette Raynal |titre=Six choses à savoir sur Kat Borlongan, la nouvelle directrice de la mission French Tech |lire en ligne=https://www.usine-digitale.fr/editorial/six-choses-a-savoir-sur-kat-borlongan-la-nouvelle-directrice-capitaine-de-la-mission-french-tech.N679444 |date=25 mai 2018 |périodique=[[L'Usine digitale]] |consulté le=25 septembre 2024 |accès url=libre}}</ref>
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Version du 25 septembre 2024 à 16:46

French Tech
Histoire
Fondation
Cadre
Type
Domaines d'activité
Siège
Pays
Organisation
Effectif
32 employés ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web

French Tech est un label officiel attribué par les autorités françaises à des pôles métropolitains reconnus pour leur écosystème de startups, ainsi qu'une marque commune utilisable par les entreprises innovantes françaises. La French Tech vise notamment à donner une identité visuelle commune forte aux startups françaises, ainsi qu'à favoriser l'échange entre elles.

Historique

Lancement du label French Tech

Le 27 novembre 2013, Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée du Numérique et Louis Gallois, commissaire général pour l'investissement, officialisent la création du label « French Tech », terme préféré à « quartiers numériques » initialement choisi, car plus porteur à l'international[1]. Il s'accompagne d'une enveloppe de 200 millions d'euros d'investissements[1]. Son objectif est de mobiliser acteurs privés et publics pour favoriser la croissance et le rayonnement international des start-ups françaises, dans le but de faire émerger l'équivalent d'un Google français ou européen[1]. En novembre 2014, neuf grandes villes françaises, parmi lesquelles Paris, Nantes ou Montpellier, reçoivent le label French Tech, valable pour trois ans[2]. Cette première vague de labellisations fait suite à un audit de chaque ville candidate, où ont notamment été évalués le nombre de start-ups locales et leurs levées de fonds ou la présence dincubateurs et accélérateurs d'entreprises[2].

L'année suivante, Axelle Lemaire, successeure de Fleur Pellerin, annonce un plan de développement de l'attractivité de la French Tech à l'international, notamment via un volet événementiel et le renforcement des French Tech Hubs, fédérant les communautés de start-uppers installées à l'étranger comme à Londres, Singapour ou Tel Aviv[3]. Est également créé le French Tech Ticket, dispositif destiné à attirer les jeunes entrepreneurs étrangers, avec l'objectif d'attirer 100 à 150 start-ups par an[4]. Il donne à chaque entrepreneur un titre de séjour et une bourse de 1 500 euros par mois pendant un an ainsi qu'une aide à l'installation[4].

Déménagement et restructuration

Jusque-là installée au ministère de l'Économie et des Finances, à Bercy, la French Tech déménage en septembre 2017 pour s'installer dans les locaux de Station F, plus grand incubateur du monde inauguré le 29 juin précédent au sein de la halle Freyssinet, à Paris[5]. Ce déménagement acte la transformation du label en une structure de soutien à l'entrepreneuriat, avec l'objectif de rapprocher tous les acteurs de l'économie et de l'innovation : administration, start-ups ou instituts de recherche[5]. La mission propose ainsi une simplification des démarches administratives pour les start-ups françaises ou l'accueil d'entrepreneurs étrangers et chercheurs voulant soumettre des projets d'entreprises[5]. En décembre, David Monteau, ancien de l'INRIA parti en 2013 pour cofonder et diriger la French Tech, quitte la direction de la mission[6]. Il est remplacé en mai 2018 par Kat Borlongan, alors dirigeante de Five by Five, agence spécialisée dans l'innovation qu'elle a cofondée en 2013[7].

En , Mounir Mahjoubi annonce que la stratégie de French Tech sera recentrée sur les scale-ups, la tech for good et la mixité sociale[8].

Le 3 avril 2019, Lille reçoit la distinction Capitale French Tech en même temps que 13 autres grandes villes françaises telles que Aix-Marseille, Bordeaux et Nantes, entre autres[9],[10].

En 2019, le gouvernement français décide de créer au sein de la French Tech le label Next40 pour soutenir et promouvoir 40 jeunes entreprises françaises[11] qu'il considère comme prometteuses et susceptibles de devenir des leaders technologiques. Il ne s'agit donc pas d'un quelconque indice boursier.

En avril 2020, le Pays basque reçoit la labellisation Communauté French Tech PAYS BASQUE avec l'implication de plus de 135 structures[12].

En 2021, Clara Chappaz est nommée directrice de la French Tech. Elle succède à Kat Borlongan[13].

En 2023, dix ans après le lancement du label « French Tech », on constate que celui-ci a acquis une certaine notoriété, appuyée par une nette hausse des investissements dans l'écosystème et un nombre grandissant de licornes françaises, start-ups valorisée plus d'un milliard d'euros, comme Doctolib ou BlaBlaCar[1]. Il participe ainsi à faire connaître le secteur, qui dénombre 25 000 start-ups cette année-là pour un million d'emplois directs ou indirects créés, auprès du grand public[1]. Néanmoins, la France n'a pas fait émerger à cette date d'acteurs de niveau mondial[1].

Villes labellisées

Le Mabilay, siège de la French Tech Rennes Saint-Malo

Le réseau French Tech est principalement basé en France métropolitaine ; il compte en 2016 treize métropoles labellisées en leur nom. À partir de 2015 sont mis en place les réseaux thématiques French Tech auxquels appartiennent les métropoles labellisées mais également d'autres écosystèmes locaux. Toutefois l'appartenance à un réseau thématique French Tech ne confère pas le label à la métropole concernée.

En novembre 2014, neuf métropoles (Aix-Marseille, Bordeaux, Grenoble, Lille, Lyon, Montpellier, Nantes, Rennes et Toulouse) sont labellisées[14].

En juin 2015, quatre nouveaux « écosystèmes » sont labellisés :

Puis en juillet 2016 est créé :

À cette liste se rajoutent quatre écosystèmes thématiques :

  • Saint-Étienne pour le design (« Design Tech »)
  • Angers[17] pour l'industrie (« Industry Tech »)
  • Avignon pour la culture (« Culture Tech »)
  • Alsace pour les sciences (« Med Tech » et « Bio Tech »)

Par la même occasion, la ministre Axelle Lemaire annonce que New York devient la première ville étrangère à être labellisée French Tech en 2015[18].

Initialement prévues pour le printemps 2016[19], de nouvelles labellisations pour des réseaux thématiques sont annoncées le à Laval, où les 13 métropoles French Tech sont également confirmées par Emmanuel Macron, ministre de l'Économie et du Numérique, et Axelle Lemaire, secrétaire d'État chargé du numérique[20]. Les réseaux thématiques sont au nombre de neuf : HealthTech : BioTech MedTech e-sante ; IoT Manufacturing ; EdTech Entertainment ; CleanTech Mobility ; FinTech ; Security Privacy ; Retail ; FoodTech. Outre les métropoles French Tech, ils rassemblent les pôles de développement suivants : Alsace, Amiens, Angers, Avignon, Chalon-sur-Saône, Clermont-Ferrand, Dijon, Grand Besançon Métropole, Hossegor - Saint-Jean-de-Luz, Laval, La Réunion[21], Le Mans, Limoges[22],[23], Angoulême - La Rochelle – Niort - Poitiers, Nogent / Haute Marne, Reims, Saint-Étienne, Saint-Quentin, Tarbes, Toulon, Vendée.

La French Tech Rennes Saint Malo

Labellisée parmi les premières villes en 2014, Rennes s'est associée à la Ville de Saint-Malo. Un bâtiment Totem a ouvert en septembre 2016[24] sur 2000 m² proposant 3 étages : un start-up hôtel qui regroupe plusieurs start-up rennaises, un étage dédié au travail collaboratif et un étage permettant de recevoir des événements.

La French Tech Rennes Saint-Malo sponsorise un trimaran.

Depuis 2018, l'association en charge de la French Tech Rennes Saint-Malo se nomme Le Poool.

Le réseau French Tech

La French Tech se compose de 121 entités à travers le monde dont 13 capitales et 45 communautés en France, ainsi que 63 communautés à l'international[25].

À l'étranger, des villes comme Londres en Grande-Bretagne, Abidjan en Côte d'Ivoire, Hong Kong ou encore Shenzhen en Chine, font partie des French Tech Hubs officiellement labellisés.

Article connexe

Liens externes

Références

  1. a b c d e et f Mélicia Poitiers, « 10 ans après son lancement, pourquoi la French Tech n'a pas encore de géant ? », L'Usine nouvelle,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  2. a et b Lucie Ronfaut, « Neuf villes françaises reçoivent le label «French Tech» », Le Figaro,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  3. Delphine Cuny, « Des ambassadeurs pour faire briller la French Tech à l’international », La Tribune,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  4. a et b Nicolas Rauline, « La French Tech à l’offensive à l’international », Les Échos,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  5. a b et c Sylvain Arnulf, « La French Tech aura son ambassade à Station F... et ses bureaux ! », L'Usine digitale,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  6. Stéphanie Mundubeltz-Gendron, « David Monteau quitte la French Tech : "Nous n’avons pas créé un gros machin public, mais un écosystème" », L'Usine digitale,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  7. Juliette Raynal, « Six choses à savoir sur Kat Borlongan, la nouvelle directrice de la mission French Tech », L'Usine digitale,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  8. Sylvain Rolland, « Nouveaux labels, Visa simplifié... : la Mission French Tech pivote », La Tribune,
  9. « Aix Marseille Provence devient « Capitale French Tech » », sur Made in Marseille, (consulté le )
  10. « Liste des capitales French Tech (avril 2019) », sur TOUT METZ, (consulté le )
  11. « Le Next40, vitrine des start-up françaises », sur Gouvernement.fr (consulté le )
  12. « Place à la Communauté French Tech Pays Basque », sur www.communaute-paysbasque.fr (consulté le )
  13. « Clara Chappaz, un pilier de Vestiaire Collective à la tête de la French Tech », sur Les Echos, (consulté le )
  14. « Les 9 premières métropoles #FrenchTech », sur gouvernement.fr, (consulté le ).
  15. « French tech in the alps », sur lafrenchtech.com (consulté le )
  16. « Le Grand Besançon rejoint le réseau « French Tech » » (consulté le )
  17. Sylvain Arnulf, « François Hollande à Angers : « vous aurez la French Tech ! »... grâce à votre cité des objets connectés », sur usine-digitale.fr, (consulté le ).
  18. « French Tech : Comment New York a obtenu le label », sur usine-digitale.fr (consulté le )
  19. Sylvain Arnulf, « "Réseaux thématiques" ? Mais quel est ce nouvel appel à candidatures French Tech ? », sur usine-digitale.fr, (consulté le )
  20. « Dossier de presse : Structurer et accélérer la dynamique de l'écosystème de start-ups français », sur .lafrenchtech.com, (consulté le )
  21. « L'objectif : placer la France parmi les grandes startup nations : La Réunion obtient le Label FrenchTech », sur Imaz Press Réunion : l'actualité de la Réunion en photos, (consulté le ).
  22. Sébastien Dubois, « Innovation - « Coup d'accélérateur » pour la French Tech à Limoges », www.lepopulaire.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  23. « French Tech Limoges Métropole - Rejoignez l'aventure de l'innovation », sur French Tech (consulté le )
  24. « French Tech. Le Mabilay, bâtiment totem, inauguré à Rennes », Ouest-France.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  25. « 9 nouvelles communautés French Tech labellisées en Outre-mer et à l'international », sur usine-digitale.fr (consulté le )